C’est le cas du ballet Diptych, en deux volets, présenté ce mercredi soir et plongeant les spectateurs dans l’esprit d’un homme qui revoit le film de sa vie et d’autres vies que la sienne. Autre style, jeudi 12, au théâtre des Variétés, cette fois, où Israël Galvan occupera le plateau avec La edad de oro, un spectacle sur l’âge d’or du flamenco.
Un mélange des genres
La variété continue le 13 décembre avec l’œuvre Last Work du chorégraphe israélien Ohad Naharin "légende de la chorégraphie" qui présente là une de ses œuvres les plus denses.
Ce week-end, à la Salle des Princes place finalement à la compagnie des Ballets de Monte-Carlo avec un double programme. D’abord Vers un pays sage, de leur maestro Jean-Christophe Maillot. Couplé à Autodance, une création de Sharon Eyal, connue pour ses chorégraphies intenses et physiques. Un mariage à savourer.
Dernière ligne droite ensuite, le 16 décembre avec la pièce Chotto Desh d’Akram Khan, évoquant la résilience de l’esprit humain. Et accessible aussi au jeune public à partir de 7 ans. Le lendemain, 17 décembre le spectacle Dance Marathon d’Eugénie Andrin au théâtre des Variétés réunira quatre danseurs et un comédien professionnels, dix-huit danseurs amateurs, et un orchestre de 15 élèves de spécialité musique du Lycée Apollinaire de Nice.
Enfin, Made in Oslo le 18 décembre clôturera le Monaco Dance Forum avec poésie. Celle de la compagnie Jo Stromgren venue de Norvège avec un triple programme.
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