50 logements domaniaux pourraient être créés à horizon 2026-2027, en sait-on plus sur leur localisation ?
2027-2028 même peut-être. Sur la localisation, nous avons plusieurs hypothèses : soit des immeubles existants, soit qui pourraient être construits par un promoteur, soit un foncier qui appartient à l‘État ou qui est disponible. Il faut que l’on procède assez rapidement à des arbitrages avec les deux aspects qui comptent le plus : la rapidité et le budget. Le Plan national logement doit permettre de respecter les objectifs de départ à l’horizon 2033. On sera dans l’objectif et une étude IMSEE le montre, nous satisferons les besoins au-delà de ce qui était prévu en termes de taux de population qui pourrait bénéficier de ces logements. Mais, naturellement, la production de logements domaniaux n‘est pas régulière, pas lisse sur chaque année. Il y a des hauts et des bas, des opérations qui nécessitent d‘être redéployées ; d‘autres qui peuvent faire l‘objet de renforcement des capacités comme c’était le cas des Tours Elsa et Réséda. Cela peut aussi être un projet nouveau comme celui dit du Larvotto supérieur. Parallèlement, des projets iront moins vite qu’initialement annoncé mais se feront quand même, comme le projet Bel Air. Et d’autres pour lesquels il faut peut-être redéfinir les choses. Globalement, il y avait une absence de livraisons suffisantes sur ces années 2027-2028, c‘est ce qui nous a conduits à dire qu’on allait construire environ 50 logements domaniaux sur ces deux années, par anticipation de projets à plus long terme, notamment sur le site de l’Annonciade où, à terme, un projet immobilier important pourra être réalisé.
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