Le LQB Fest n’est pas qu’un festival, c’est un manifeste. Celui d’une scène artistique où les femmes prennent le pouvoir. Au 109, temple de la culture underground niçoise, l’énergie sera brute, électrique et libre du vendredi 28 au dimanche 30 mars.
Le festival pour "lady, queen and brat", qu’on pourrait traduire par "dame, reine et sale gosse", ne laisse pas de place pour les étiquettes. C’est une invitation à un voyage où la musique house croise l’électro.
Jennifer Cardini et Global Industrial Culture
Au programme, des noms qui font déjà vibrer les esprits. Pour l’ouverture de bal, le vendredi 28 mars, Tatyana Jane, qui a déjà mixé au HÖR, à Berlin, le studio d’enregistrement qui voit passer la crème de la crème des DJ techno, sera aux côtés de Belaria et de ROÜGE, pour une soirée gratuite, avec comme promesse des sons percutants et des beats envoûtants.
Samedi, seule soirée payante du festival, ce sont Jennifer Cardini, la DJ née à Monaco et aujourd’hui installée à Berlin, la Niçoise Global Industrial Culture et la DJ marseillaise Ness Toria qui enflammeront la scène.
Pour la dernière soirée, elle aussi en accès libre, ce sont Scorpio Qveen, une artiste à la fois DJ, chanteuse, danseuse, performeuse et musicienne, EEC Loops et la compagnie de danse K.rismatik qui clôtureront en apothéose cette édition.
En plus des nombreuses artistes qui vont se succéder sur scène, des performances, allant du défilé à l’exposition en passant par le live painting, des cours de danse ou d’initiation au mix, des stands de tatouage ou encore de prêt-à-porter, seront également proposés.
Trois jours pour se rappeler que l’art, quand il est porté par des voix libres, peut tout embraser.
>> Tarif 17,50 euros pour la soirée du samedi. Renseignements: panda-events.com
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