En début de semaine, élus et conseillers de gouvernement se retrouvaient dans l’hémicycle pour une commission plénière d’étude du budget rectificatif au Conseil national.
Un baptême du feu pour le ministre d’État, qui s’était déjà entretenu deux fois en tête-à-tête avec Thomas Brezzo, le président du Parlement. Une manière de tenter d’établir les bases d’une bonne relation entre les deux institutions, souvent compliquée.
"J’aurai l’occasion, c’est ce que j’ai dit à la tribune du Conseil national, de travailler de façon extrêmement étroite avec les conseillers nationaux, avec l’ensemble des acteurs qui doivent, bien sûr, avoir de la part du gouvernement les informations qui leur sont nécessaires, notamment pour se prononcer en toute connaissance de cause sur le budget de l’État. Le gouvernement ne peut pas gagner seul. J’ai eu l’occasion, lorsque j’étais au service de l’État en France, de travailler de façon extrêmement étroite et familière avec les élus, donc je suis familiarisé à ce jeu de relations."
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