C'est une publication qui a secoué les réseaux sociaux. Le 19 août dernier, Alexandra Rosenfeld a pris la parole pour dénoncer le comportement violent de son compagnon de l'époque, Jean Imbert, évoquant "un coup de tête" ainsi que "le mépris, les rabaissements, les silences, les mots parfaitement placés pour me faire douter de moi, de ma valeur".
Elle s'est cette fois exprimée en son nom, après avoir témoigné sous un pseudonyme dans le magazine Elle en avril dernier, au côté de trois autres ex-compagnes, dont deux ont également dénoncé des violences.
Un geste d'auto-défense clame le chef cuisinier
Contacté par Le Parisien, Jean Imbert s'est exprimé via ses avocats. Ses conseils affirment que "ce coup de tête intervient dans un moment de violences subies par Jean Imbert alors qu’il était empoigné par Alexandra et qu’il s’en dégageait. Il en regrette profondément les conséquences pour elle. Cette relation était insoutenable, marquée par les insultes et les crises."
Une ligne de défense qui s'apparente presque mot pour mot à celle déjà employée au moment de la publication de l'article du magazine Elle, faisant notamment état de "dysfonctionnements réciproques" .
Seul élément nouveau, les avocats de Jean Imbert évoquent cette fois des "messages amicaux" échangés entre les anciens compagnons "depuis leur séparation."
Messages dont l'ancienne Miss France parle dans sa publication du 19 août: "Cette invitation, ce message bienveillant, n'étaient pas si innocents. Il savait qu'un article allait sortir. Il avait contacté plusieurs de ses ex, sous prétexte de prendre de leurs nouvelles. Moi, je croyais à une attention sincère. Mais il cherchait à savoir. À anticiper. À contrôler le récit."
Depuis sa publication, le post d'Alexandra Rosenfeld a été "liké" près de 230.000 fois et compte près de 10.000 commentaires, soutenant largement la démarche de la trentenaire.
Aucune plainte n'a pour le moment été déposée contre le chef cuisinier. Plusieurs de ses ex-compagnes espère qu'une enquête sera ouverte.
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