Un enfant de 8 ans frappé à coups de barre de fer par trois jeunes à peine plus âgés que lui dans un parc en Italie

Selon les premiers éléments, l'enfant aurait été roué de coups par trois jeunes âgés de 7, 9 et 11 ans, avant d’être frappé au visage. Le garçon devrait subir des opérations visant à reconstruire son visage.

La rédaction Publié le 18/09/2025 à 15:37, mis à jour le 18/09/2025 à 15:37
Selon les premiers éléments, il aurait été roué de coups par trois jeunes âgés de 7, 9 et 11 ans, avant d’être frappé au visage avec une barre de fer. Photo NM

Un enfant de huit ans a été victime d’une violente agression le vendredi 12 septembre dans un parc de Rome, alors qu’il célébrait son anniversaire, rapporte La Dépêche du Midi.

Selon les premiers éléments, il aurait été roué de coups par trois jeunes âgés de 7, 9 et 11 ans, avant d’être frappé au visage avec une barre de fer.

Le drame s’est produit dans le quartier de Fidene. "Nous étions en train de nettoyer quand nous avons entendu un cri déchirant", a raconté Luigi Pascucci, responsable associatif, qui a relayé l’alerte sur les réseaux sociaux.

Rapidement prévenus, les secours ont pris en charge l’enfant, grièvement blessé, et l’ont conduit vers un hôpital de la capitale, où il a subi une intervention chirurgicale en urgence.

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Les trois enfants impliqués ne seront pas poursuivis

Les médecins évoquent des blessures d’une rare violence, infligées avec une force qualifiée "d’inhumaine".

Le garçon devrait subir d’autres opérations visant à reconstruire son visage.

L’enquête a permis d’identifier les auteurs présumés, trois frères appartenant à une famille de la communauté du voyage.

Les circonstances exactes de l’agression et l’origine de la barre de fer sont encore à éclaircir.

Les enquêteurs s’intéressent également aux antécédents judiciaires de cette fratrie, qui aurait déjà été signalée au tribunal pour mineurs.

En Italie, la loi ne prévoit pas de poursuites pénales avant l’âge de 14 ans.

Les trois enfants impliqués ne pourront donc pas être poursuivis, mais leurs parents pourraient être tenus responsables des violences commises.

À ce stade, le mobile de l’agression demeure inconnu.

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