Aujourd’hui, la sœur de la défunte, Andrea Rády, s’oppose à cette réouverture, affirmant qu'"après tout ce temps, ça n’a plus de sens", rapporte RTL.
Selon l’avocate représentant la famille, Andrea Rády considère que les investigations auraient dû être menées à leur terme en 2010 et qu’il est désormais "trop tard" pour reprendre ce dossier.
Elle précise également que le père de Krisztina est récemment décédé et que sa mère, âgée de 82 ans, souffre de troubles cognitifs l’empêchant de s’exprimer sur cette affaire.
En parallèle, les parents de Krisztina Rády avaient exprimé leur souhait d’apaisement.
Par l’intermédiaire de leur avocat, ils affirmaient ne pas comprendre ce qu’ils qualifiaient d’"acharnement" judiciaire et évoquaient un documentaire particulièrement accablant, sorti sur Netflix, dont ils ont contesté la partialité, rapportait BFM TV le 1er août dernier.
Depuis 2010, quatre enquêtes judiciaires sur ce dossier avaient déjà été ouvertes et classées sans suite.
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