La Côte d’Azur, c’est un peu son deuxième cœur qui bat. Kendji Girac, l’artiste aux millions de disques vendus, ne cache pas son attachement viscéral à cette région où il aime revenir, encore et encore.
Entre concerts enflammés et tournages de clips, il y a trouvé bien plus qu’un décor: une véritable source d’inspiration. Ce mardi 24 juillet 2025 au soir, pour le dernier concert du Beach Sport Festival à Saint-Laurent-du-Var et devant une foule en liesse, il a célébré ses dix années de carrière avec l’énergie contagieuse qui le caractérise.
Alors qu’un nouvel album se profile pour la rentrée ainsi qu’une tournée qui débute en janvier, avec une escale au Palais Nikaïa, à Nice, le 20 mars prochain, Kendji Girac continue d’écrire son histoire, une chanson après l’autre, entre montagnes et Méditerranée.
Quel effet cela vous fait de chanter sur cette scène du Beach Sport Festival, avec la mer en toile de fond?
C’est toujours incroyable de pouvoir faire un concert avec la mer derrière soi.
Ce petit vent qui nous porte, ça rafraîchit et ça ajoute quelque chose de magique. Un lieu comme celui-ci, c’est fabuleux pour chanter.
Vous avez des attaches particulières avec la Côte d’Azur. Qu’est ce qui vous plaît ici?
Déjà le soleil, les gens, la mer... c’est tout ce qui me plaît. Quand j’étais petit, je venais souvent en vacances dans la région, donc je connais bien le coin. Tous les ans, je fais des clips et des séances photo. De plus en plus, je tombe amoureux de la région et un jour, je pense que je vais finir ici.
Le 27 juin dernier, à Juan-les-Pins pour le festival L’Humour à la Plage, vous avez interprété en exclusivité le titre "Un, Dos, Tres", issu de votre prochain album. Comment avez-vous vécu cette première?
Je venais tout juste de sortir du studio après l’avoir enregistré, je n’étais même pas sûr de me souvenir des paroles (rires). Mais avec Kev [Adams, ndlr] et tous les amis présents, l’ambiance était tellement bienveillante que le stress est vite parti. C’était génial de voir comment le public a accueilli ce titre pour la première fois.
Vous serez de retour à Nice en mars 2026 pour un concert au Palais Nikaïa. Qu’attendez-vous de cette date?
J’adore Nice et son public. Le Nikaïa je connais bien, et j’en garde de très bons souvenirs. Le public du sud est toujours familial, avec les enfants, les parents, les grands-parents... Et moi la famille, Dieu sait à quel point je l’adore et je la trouve importante.
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