"On ne perd pas espoir, on va se battre", lancent les défenseurs du Grand Prix de France

Postés chaque matin à l’entrée du circuit du Castellet avec leur drapeau "On veut un Grand Prix de France en 2023", deux fans martèlent depuis un mois leur volonté de voir les monoplaces revenir en France la saison prochaine. Ils ont initié une pétition et comptent récolter 200.000 signatures.

Laurent Seguin Publié le 25/08/2022 à 12:10, mis à jour le 25/08/2022 à 12:10
Les fans du Grand Prix de France au Castellet avec leur fameux drapeau. Photo DR

Un père, son fils... et une même passion. Unis par leur amour de la F1 "depuis toujours", Anthony et Calvin Noulot ont assisté à leur tout premier grand prix en juillet dernier, au Castellet. "Une expérience unique, une ambiance folle", racontent de concert les deux Vauclusiens, qui se sont régalés "du début à la fin" dans le Var.

Quatre jours passés tout près de leurs idoles donc, mais aussi un long week-end consacré à la défense ce Grand Prix de France, qu’ils savaient menacé.

Postés chaque matin à l’entrée du circuit du Castellet avec leur fameux drapeau ("On veut un Grand Prix de France en 2023"), signé par Vettel, Hamilton, Verstappen, Alonso, Sainz, Leclerc, Perez, Gasly, Ricciardo, Norris, Zhou, ou encore Bottas, les deux fans martèlent depuis un mois leur volonté de voir les monoplaces revenir en France la saison prochaine. "Et pas seulement au Castellet", précisent-ils, Une perspective qui semble malheureusement aujourd’hui plus improbable que jamais.

Objectif : 200 000 signatures

"On s’en doutait, mais ça a été un choc", expliquent Anthony et Calvin quand on leur parle de la déclaration du patron de Liberty Media, Stefano Domenicali, annonçant, mercredi 24 août, l’absence du Grand Prix de France au calendrier de la F1 en 2023.

"Il aurait fallu qu’on lance la pétition avant, mais on ne perd pas espoir, on continue à se battre et c’est pour toute la France qu’on le fait", préviennent ceux qui sont à l’origine d’une pétition (à retrouver en cliquant ici). Cette dernière a recueilli 750 signatures en deux jours, Anthony et Calvin en espèrent 200 000.

Avant de, peut-être, transmettre leurs doléances à la FIA et au propriétaire des droits de la F1, Liberty Media.

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