On vous emmène à bord du Pégase, ce navire militaire français en escale à Monaco

Le "central operation"

 C'est dans ce "central operation" que se joue la guerre des mines. Les marins surveillent la présence minière dans les fonds marins grâce à leur sonar disposant de deux antennes aux précisions diverses.

Les coursives

 A bord du Pégase, l'espace est rare, tout est optimisé en conséquence, en témoigne cet étroit couloir que l'on appelle "coursives" dans le jargon du marin.

Un canon de 20 mm

 A l'avant du Pégase, le bâtiment est équipé d'un canon de 20 mm ayant une vocation principalement défensive.

Le caisson de décompression

Le bâtiment dispose également d'une pièce particulière appelée "caisson de décompression". Il s'agit d'un cylindre fermé destiné au(x) plongeur(s) n'ayant pas pu réaliser leurs paliers de décompression lors d'un retour à la surface. Cette machine prend alors le relais de ce qui n'a pas pu être fait sous l'eau.

Un poisson autopropulsé

Il s'agit du poisson autopropulsé (PAP) 104. Sa mission ? Tout d'abord, il doit identifier une mine sous-marine si le sonar semble en avoir détecté une. Une fois la vérification faite, il retourne à l'eau - dans le cas où la mine aurait été formellement identifiée - chargé d'explosif, pour détruire cette mine.

La cuisine

Le Pégase est un bâtiment pouvant partir en haute mer pendant longtemps. Il lui arrive de stationner près de 4 mois dans le Golfe arabo-persique dans le cadre d'une mission tous les deux ans. Ainsi, la présence d'une cuisine, optimisée comme les autres pièces du navire, est indispensable.