Le parvis du CHPG baptisé au nom du prince Albert-Ier

Dans le cadre des commémorations du centenaire de la disparition du prince Albert-Ier (1922-2022), le prince Albert II a inauguré, ce samedi au Centre hospitalier Princesse-Grace de Monaco, un parvis au nom de son trisaïeul.

T.P. Publié le 10/04/2022 à 11:03, mis à jour le 10/04/2022 à 14:15
Le prince Albert II et Benoîte de Sevelinges, directrice de l’hôpital, ont dévoilé la plaque commémorative. Michaël Alési / Dir Com

Dans le cadre des commémorations du centenaire de la disparition du prince Albert-Ier (1922-2022), le prince Albert II a inauguré, hier au Centre hospitalier Princesse-Grace de Monaco, un parvis au nom de son trisaïeul. Au pied de la Tour maternité et à un jet de pierre du chantier titanesque du Nouveau CHPG, le souverain a dévoilé la plaque avec Benoîte de Sevelinges, directrice de l’hôpital monégasque, en présence de plusieurs personnalités politiques du pays.

Un établissement qui, rappelons-le, avait été inauguré le 9 avril 1902 par le Prince savant. Avant de s’établir dans le quartier des Salines, les infrastructures hospitalières étaient installées sur le Rocher, au-dessus de la Porte-Neuve, où se trouve actuellement le Pavillon Bosio.

Mais du fait de l’augmentation de la population et de l’insuffisante capacité de l’Hôtel-Dieu, le prince Charles-III amorce un projet de construction pour le remplacer. C’est le prince Albert-Ier, donc, qui verra l’achèvement de cet hôpital de 120 lits à l’emplacement que l’on connaît.

Le CHPG avait été conçu selon une structure pavillonnaire à cause de la crainte permanente de contagions contre laquelle la médecine de l’époque s’avérait désarmée.

De l’Hôtel-Dieu du Rocher, il ne reste désormais qu’un seul vestige: la chapelle qui, jusqu’en 1912, abritera l’Institut international de la Paix.

“Rhôooooooooo!”

Vous utilisez un AdBlock?! :)

Vous pouvez le désactiver juste pour ce site parce que la pub permet à la presse de vivre.

Et nous, on s'engage à réduire les formats publicitaires ressentis comme intrusifs.

Monaco-Matin

Un cookie pour nous soutenir

Nous avons besoin de vos cookies pour vous offrir une expérience de lecture optimale et vous proposer des publicités personnalisées.

Accepter les cookies, c’est permettre grâce aux revenus complémentaires de soutenir le travail de nos 180 journalistes qui veillent au quotidien à vous offrir une information de qualité et diversifiée. Ainsi, vous pourrez accéder librement au site.

Vous pouvez choisir de refuser les cookies en vous connectant ou en vous abonnant.