"La rapporteure publique a reconnu qu'Albert et Erpilio ont été contraints et forcés" et que "l'État actuel était redevable de l'État de Vichy".
L'historien Michel Ficetola, qui accompagne Albert Corrieri depuis plusieurs années dans ses démarches pour obtenir réparation après avoir été déporté dans le cadre du Service du travail obligatoire (STO), est optimiste.
Jugement le 8 juillet
Si la rapporteure publique a à nouveau conclu au rejet de la requête comme cela avait été fait le 24 février dernier, elle a reconnu, et c'est une première selon le spécialiste, la responsabilité de l'État de Vichy qui a instauré la loi du STO.
Me Michel Pautot espère maintenant que le jugement prévu le 8 juillet confirmera ce qui a été dit ce mardi.
Plus d'infos à venir.
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