Les 5 phrases à retenir de l'interview de Christian Estrosi sur le retour du Grand Prix de France au Castellet

Principal artisan du retour de la F1 en France, Christian Estrosi s'implique totalement dans l'organisation de l'événement. On fait le point sur le retour tant attendu de la discipline reine des sports automobiles dans le var

La rédaction Publié le 15/06/2018 à 13:28, mis à jour le 15/06/2018 à 15:11
Pour Christian Estrosi (au centre, lors du Grand Prix de Monaco), tous les feux sont au vert à quelques jours du Grand Prix de France dans le Var. Photo Cyril Dodergny

Dans la dernière ligne droite, moins de dix jours avant que les bolides ne s'élancent sur la piste légendaire du Castellet, Christian Estrosi, président du Groupement d'intérêt public Grand Prix de France, fait le point sur le retour tant attendu de la discipline reine des sports automobiles.

L'enjeu

"On est vraiment attendu sur cette renaissance du Grand Prix de France. On a pas le droit à l'erreur. C'est l'image de la France qui est en jeu, sa crédibilité à organiser de grands événements internationaux. Les patrons d'écuries, les pilotes avec lesquels j'ai pu discuter ont une telle envie de Paul Ricard qu'il ne faudrait pas qu'ils en repartent déçus. Le Grand Prix du Castellet doit etre un grand prix génial".

Le budget

"Aucun problème de budget: on a atteint tous nos objectifs. Les 14 M€ de subventions publiques sont acquises. De même que les 16 M€ de recettes en billetterie et en partenariats privés. On peut même espérer dégager une petite marge de 1 à 1,5 M€!"

Le programme

"Pendant les trois jours du Grand Prix, le spectacle sera non-stop avec, outre la F1, des courses de Formule 2, de GP3, de voitures historiques. En parallèle, on a aussi prévu une fête foraine, un parcours d’accrobranche, le passage de la Patrouille de France, des démonstrations d’hélicoptères acrobatiques et des hélicoptères Caïman de la Marine nationale."

La circulation et le stationnement

"Les conditions d'accès sont sans commune mesure avec ce que nous avons connus. Dans les années 1980, l’autoroute entre Le Luc et Toulon n’existait pas, pas plus que la traversée souterraine de Toulon. Quant aux approches immédiates du circuit, les nouveaux parcs de stationnement, d’une capacité de 25.000 places, ne sont distants que de 800 mètres au maximum à pied, grâce notamment à deux nouvelles passerelles piétonnes et des portes d’accès."

L'avenir

"Le circuit Paul Ricard doit devenir un lieu d’essais pour les écuries et de tests pour les grands manufacturiers du secteur automobile. En parallèle, on envisage donc d’implanter sur le site un grand centre d’apprentissage de dimension internationale tourné vers les filières automobile et moto, voire même aéronautique."


Retrouvez l'intégralité de l'interview de Christian Estrosi dans Var-matin et Nice-Matin de ce vendredi 15 juin.

 

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