"J’ai la chance de l’avoir. Michèle, c’est la droiture, la fidélité, le combat": Laurent Wauquiez en meeting au Cannet avec le soutien de Michèle Tabarot

Ce lundi en fin de journée, au Cannet, Laurent Wauquiez a tenu une réunion publique en présence de Michèle Tabarot devant plusieurs centaines de militants Les Républicains.

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M. T. Publié le 05/05/2025 à 23:15, mis à jour le 05/05/2025 à 23:16
Laurent Wauquiez est venu à la rencontre des militants au centre culturel de Saint-Raphaël lundi après-midi avant de se rendre le soir au Cannet. Photo ABJ

Il était attendu par plusieurs centaines de militants Les Républicains. Laurent Wauquiez, candidat à la présidence du parti, en campagne dans les Alpes-Maritimes où il se rendait pour la seconde fois en un mois, a fait son entrée, ce lundi soir, dans la salle Recroix du Cannet aux côtés de Michèle Tabarot.

"J’ai la chance de l’avoir. Michèle, c’est la droiture, la fidélité, le combat", a commencé le chef de file des Républicains à l’Assemblée nationale, en rendant un hommage appuyé à la députée de la 9e circonscription des Alpes-Maritimes. "La meilleure de France en nombre d’adhérents: 1600. Merci de ton soutien", a-t-il insisté après de chaleureuses embrassades et accolades.

Au premier rang de ses soutiens le maire d’Antibes Jean Leonetti et le député Eric Pauget. Etaient également présents les maires du Cannet Yves Pigrenet, de Pégomas Florence Simon, de Mougins Richard Galy, de Spéracèdes Jean-Marc Macario, l’adjoint au maire de Nice et conseiller régional Pierre-Paul Léonelli, le conseiller régional Olivier Bettati, les conseillers départementaux Franck Martin et Didier Carrétero, le vice-président de la métropole Nice Côte d’Azur Xavier Latour.

Trois verrous et deux piliers

Pendant près d’1h30, Laurent Wauquiez a captivé un auditoire acquis à sa cause, acquiesçant et applaudissant à chacune de ses propositions.

"Pendant 8 ans je me suis occupé de la région Auvergne-Rhône-Alpes", a-t-il rappelé en évoquant son bilan - forcément positif - avant de livrer sa vision de la France d’aujourd’hui. Un pays où règnent le désordre et l’insécurité. Face à ce chaos, "il faut changer le système qui s’est bloqué et nous condamne à l’impuissance". Pour lui, un seul remède "faire sauter trois verrous" : "les juges qui décident à notre place", "l’enfer de la bureaucratie", "les associations pastèques: vertes [comprendre écologistes] à l’extérieur, rouge [d’extrême gauche] à l’intérieur et celles qui vivent d’argent public pour ne favoriser que des minorités".

"La responsabilité des Républicains est de porter un projet de rupture", résume-t-il. Un projet qui repose sur deux piliers, le respect et le travail.

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