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🎙 #8 - Juan Arbelaez – Un appétit de géant

Ce nom et ce visage, vous les connaissez depuis dix ans et une apparition remarquée dans Top Chef. Juan Arbelaez, c’est un personnage très médiatique, c’est sûr. Une bonne gueule, une vraie énergie et un vrai don pour la communication. Mais avant tout, le cuisinier colombien reste un authentique passionné. Aux commandes de treize restaurants à seulement 34 ans, il est venu, fin juin, retrouver ses amis organisateurs de La Crème Festival, à Villefranche-sur-Mer. On l’a interrogé à la fin de l’événement, après un barbecue géant qu’il a géré dans la bonne humeur, en tenue estivale et en musique. Même après plusieurs longues soirées festives, Juan Arbelaez était toujours aussi fougueux, prêt à bondir de sa chaise pour tout vivre, tout voir, tout écouter. Cette flamme, qui l’accompagne depuis ses jeunes années en Colombie, il l’a partagée avec nous. Tout comme l’histoire de ses premiers pas en France, sa rencontre avec son idole, Pierre Gagnaire. Ou encore son goût pour des plats familiaux devenus cultes. Et son envie, pourquoi pas, d’ouvrir un resto chez nous, sur la Côte d’Azur.

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🎙 #7 - Suzane - Pour rêver plus grand

Suzane, c’est l’une des artistes phares de la pop française. De passage à Carros pour un concert, avant de revenir en septembre à Nice pour le festival Crossover, elle a évoqué avec nous tout ce qui lui a donné la passion du show. Elle qui s’appelle en réalité Océane a choisi ce pseudo, Suzane, pour croire en ses rêves, sans se demander s’ils étaient trop grands ou si son statut de provinciale allait lui couper les ailes. En 2020, Suzane a raflé une Victoire de la musique, catégorie révélation scène. Mais avant d’en arriver là et de voir Toï Toï, son premier album, être certifié disque d’or, l’Avignonnaise a connu un long chemin, avec quelques épisodes fondateurs. Avec nous, elle a évoqué Mylène Farmer et ses shows grandiloquents, qu’elle regardait avec admiration à la télé ; sa rupture avec la danse classique et puis cet appel de la musique, impossible à freiner malgré les incertitudes. Plus tard, il y a aussi eu cette rencontre marquante avec Grand Corps malade. La chanteuse nous a enfin parlé de son rapport à la scène, toujours aussi viscéral. Mais aussi de la manière dont elle avance vers son deuxième album, avec l’envie de se révéler, d’aborder tous les thèmes et faire sauter quelques tabous autour du corps et du plaisir féminin.

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🎙 #13 - Marcel Ravin - Il régale vos papilles

Marcel Ravin, c'est un peu un phénomène parmi les chefs de la Côte d'Azur. Installé à Monaco depuis 17 ans, il dirige les cuisines de l'hôtel Monte-Carlo Bay, à Monaco. Lui, qui a grandi en Martinique, dans un milieu très modeste, où il se régalait des produits de la culture du potager de sa grand-mère, a décidé de poursuivre cette aventure en Principauté. Là-bas, il propose à ses clients une cuisine de voyage, une cuisine de partage, largement influencée par ses racines caribéennes. Une vraie signature culinaire qui a séduit le bibendum, puisque cette année, Marcel Ravin a décroché son deuxième macaron. Nous sommes allés le rencontrer au Monte-Carlo Bay, où il nous a raconté son parcours. Il nous a parlé de ses rêves d'enfance et de sa vie d'aujourd'hui, de son parcours depuis la Martinique jusqu'à Monaco en passant par l'Est de la France, et de sa philosophie qui ancre les étoiles dans la terre de son potager.

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🎙 #12 - Richard Galliano - Géant de l’accordéon au vaste éventail

Richard Galliano, c’est tout simplement l’un des plus grands accordéonistes du monde. Un homme curieux de tout, aussi bien attiré par la musette que le jazz, la chanson française, la musique brésilienne, le tango ou le classique. Un grand gamin, aussi, avec l’œil rieur et l’envie de partager sa passion pour cet instrument souvent moqué, ringardisé, qu’il est capable de faire sonner comme un orchestre tout entier. Richard Galliano, c’est un Sudiste, un vrai. Parents d’origine italienne, né à Cannes, il a grandi du côté du Rouret et vit aujourd’hui à Nice, juste en face de l’Opéra. Justement, la veille de notre rendez-vous, il avait joué dans cet écrin. Au programme des moments d’improvisation puis un oratorio intitulé Les Chemins noirs, avec son ami écrivain René Fregni et une chorale. Richard Galliano nous en a parlé avec générosité, avant de se replonger dans cinquante années d’une riche carrière où il a côtoyé les plus grands, de Nougaro à Chet Baker en passant par Astor Piazzola, Moustaki, Barbara, Biréli Lagrène ou encore Ron Carter. L’accordéoniste a aussi évoqué avec émotion de Luciano, son père, celui qui lui a donné le goût de la musique et de cet instrument, dès son plus jeune âge. Force est de constater que pour certains comédiens, la chanson est souvent une lubie, un petit caprice auquel les producteurs cèdent volontiers, des euros dans les yeux. Mais chez Daniel Auteuil, la musique était là depuis le début. Vous ne le savez peut-être pas, mais son rêve de gosse, c’était d’imiter ses parents et de devenir chanteur d’opéra, comme eux. Il en avait pris le chemin, puisque dès l’âge de 4 ans, il jouait dans Madame Butterfly. Mais c’est seulement aujourd’hui, à 72 ans, qu’il renoue avec cette passion d’enfant. Daniel Auteuil nous a parlé de cette nouvelle orientation, sans oublier de s’arrêter sur ces signes du destin qui lui ont montré la voie, aussi bien au théâtre qu’au cinéma.

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🎙 #6 - Daniel Auteuil - Et maintenant la chanson

On le connaît bien sûr en tant qu’acteur à l’immense carrière, deux fois césarisé et lauréat d’un prix d’interprétation à Cannes. Mais depuis l’an dernier, on le découvre en tant que chanteur, inspiré par les de grands poètes, de Baudelaire à Apollinaire en passant Rimbaud ou le méconnu Paul-Jean Toulet. Ce jour-là, Daniel Auteuil était à Antibes pour Déjeuner en l’air, son nouveau spectacle musical reposant sur ses compositions, arrangées par Gaëtan Roussel, avec le guitariste Arman Mélies et le pianiste Colin Russeil. Force est de constater que pour certains comédiens, la chanson est souvent une lubie, un petit caprice auquel les producteurs cèdent volontiers, des euros dans les yeux. Mais chez Daniel Auteuil, la musique était là depuis le début. Vous ne le savez peut-être pas, mais son rêve de gosse, c’était d’imiter ses parents et de devenir chanteur d’opéra, comme eux. Il en avait pris le chemin, puisque dès l’âge de 4 ans, il jouait dans Madame Butterfly. Mais c’est seulement aujourd’hui, à 72 ans, qu’il renoue avec cette passion d’enfant. Daniel Auteuil nous a parlé de cette nouvelle orientation, sans oublier de s’arrêter sur ces signes du destin qui lui ont montré la voie, aussi bien au théâtre qu’au cinéma.

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🎙 #11 - Samuel Le Bihan - acteur entier et engagé

On vous propose de passer un long moment avec Samuel Le Bihan. Lui qui a grandi en Bretagne avant de poser ses valises à Paris a choisi un autre point de chute. A 56 ans, l’acteur est maintenant installé à Nice, où il profite du soleil et de la mer. Un rythme différent, avec des tournages espacés, qui lui permet aussi d’offrir le meilleur cadre de vie à sa jeune fille autiste. Samuel Le Bihan, c’est un homme entier, passionné, parfois écorché vif, toujours prêt à mouiller sa chemise pour une nouvelle cause caritative.

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🎙️ Découvrez le premier épisode de notre podcast "RCT-1992: le titre impensable": Eric Champ, le capitaine en costard

30 ans après un titre aussi improbable qu'inoubliable, nous sommes allés à la rencontre de ceux qui ont écrit l'histoire du Rugby club toulonnais. Dans ce premier épisode, Eric Champ, capitaine emblématique du club Rouge et Noir, raconte comment il a vécu cette épopée, lui qui était suspendu pour la finale face au Biarritz de son ami Serge Blanco. Eric Champ, le premier capitaine à soulever le bouclier de Brennus en costard...

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🎙#5 - Julie Gayet - Plongée dans un destin hors norme

Place cette fois à Julie Gayet, croisée au Théâtre national de Nice, où elle partageait la scène avec Judith Henry dans Je ne serais pas arrivée là, si... A notre micro, l’actrice a eu tout loisir de se pencher sur son propre parcours, en s’arrêtant sur plusieurs figures tutélaires. Comme cette professeure de chant lyrique lui ayant inculqué la rigueur ou la cinéaste Agnès Varda, qui lui a ouvert les yeux sur le monde du cinéma et de la production, en ayant toujours à l’esprit une certaine volonté d’engagement.

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🎙 #10 - Maurice Cohen - ancien président de l'OGC Nice - "C'était de la folie mais on y est arrivé"

A la tête de l'OGC Nice au début des années 2000, l'homme d'affaires a contribué au redressement d'une institution à la dérive. Sa période niçoise est terminée depuis plus de dix ans, mais Maurice Cohen n'est pas à la retraite pour autant : il continue de multiplier les projets à Monaco. Pour Déclics, il décrypte sa façon de travailler et se confie sur une motivation toujours intacte.

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🎙 #09 - Fanny Herrero - Scénariste - "Je souhaite à tout le monde de grandir en Province et de venir faire ses études à Paris"

Fanny Herrero est la directrice d’écriture, la showrunneuse à qui l’on doit le succès de la série Dix pour cent, sur France 2. Cet enfant de la rade, fille de l’ancien joueur et entraîneur du Rugby club toulonnais Daniel Herrero, a accompagné durant trois saisons la vie d’Andrea, Arlette, Mathias ou encore Gabriel. Trois saisons avant de tourner la page. De prendre le recul nécessaire pour mieux rebondir, très prochainement, sur Netflix, avec “Drôle”, une série consacrée au stand up. C’est dans son appartement parisien que Fanny Herrero nous a reçus. Le temps d’évoquer son enfance, le chemin qui l’a menée jusqu’à ce métier dans lequel elle s’épanouit pleinement. La jeune femme s’est livrée sans fard et sans détour.

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🎙 #3 - Gaël Tchakaloff, "embarquée" à l'Elysée, dans l'intimité du couple Macron

La Varoise Gaël Tchakaloff s’est plongée dans les coulisses de l’Elysée et dans l’intimité du couple Macron. Devenue amie avec Brigitte, l’épouse du président, elle a publié un livre intitulé Tant qu’on est tous les deux, qui a connu un beau succès. Lors d’un échange enregistré dans le bar de l’Hôtel Beau-Rivage, à Nice, on lui a demandé, entre autres, quelles étaient les figures marquantes ayant jalonné son parcours, comment son envie d’écrire était née. Et d’où venait son intérêt pour la chose politique. Un milieu qu’elle décrit comme "violent et frénétique, où la vie est multipliée par mille."

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#2 - Marc Jolivet: "A 19 ans au Club Med, j'ai vu que je pouvais faire rire les gens tous les soirs"

A 71 ans, l’humoriste et ancien candidat écologiste vient de sortir ses mémoires chez Robert Laffont. Pour remonter le fil de son existence et de sa riche carrière, il convoque Jeanne Moreau, Johnny Hallyday, Daniel Balavoine, Coluche, Raymond Devos, François Mitterrand, Serge Lama, Daniel Auteuil ou encore Michel Drucker. L’occasion pour nous de le retrouver celui qui se décrit comme un utopitre dans un salon de l’Hotel Aston, en marge du Festival du livre de Nice. Avec lui, nous avions envie de retourner aux origines de sa vocation, de son envie de faire rire les autres. Et cela nous ramène à ses jeunes années, à la grande époque du Club Med.

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#1 - Pedro Winter - "La première fois où je me suis dit que la musique était ma vie..."

A 46 ans, Pedro Winter est sans doute l'un des hommes les plus cool du monde de la musique. Avec son éternel look d'ado fan de skate, il a été le manager des Daft Punk pendant une douzaine d'années, avant de fonder Ed Banger Records. Un label à l'origine des succès de Justice, Cassius, Breakbot, DJ Mehdi ou encore Myd. Ce soir-là, avant d'enfiler sa casquette de DJ et de devenir Busy P, Pedro Winter est un homme pressé, toujours occupé. Mais avec sa décontraction et sa gentillesse habituelle, il a pris le temps de papoter avec nous. 

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Episode final - La rédaction de Nice-Matin vous dévoile les coulisses de son podcast consacré à la tempête Alex

Dans ce dernier épisode d’Alex, les journalistes de Nice-Matin autrices du podcast livrent leurs impressions après un an de reportages dans les vallées à la rencontre des habitants sinistrés. Leur plus belle rencontre, l’évolution de la Roya et de la Vésubie, leurs difficultés et impressions, vous trouverez dans ce dernier épisode, les dessous de leurs reportages.

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#30 - "Les échanges avec les sinistrés sont toujours des moments très forts" - Xavier Pelletier, préfet délégué à la reconstruction des vallées

C'est dans son bureau, à la préfecture des Alpes-Maritimes, que nous avons rencontré Xavier Pelletier. Il y a presque un an, il quittait à la hâte son poste de directeur général à CCI Lyon Métropole Saint-Etienne Roanne pour revêtir ses habits de préfet délégué à la reconstruction des vallées. Une lourde tâche attendait celui que l'on surnomme aujourd'hui, "le préfet tempête". Il se confie sur ses rencontres avec les sinistrés, sur ces moments qui l'ont marqué, dresse un bilan sur les travaux réalisés et sur ce qu'il reste encore à faire. 

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#29 - "Ma plus grande joie, c’est de voir mes administrés vivants" - Ivan Mottet, maire de Saint-Martin Vésubie

Ivan Mottet est le maire de Saint-Martin-Vésubie. A 73 ans, l’élu entamait son premier mandat quand Alex a frappé son village. Il y a un an, au lendemain du désastre, il n’avait de cesse de parler de ses administrés, à qui il promettait d’être là. Un an après, c’est un homme fatigué, rattrapé par la nuit du 2 octobre qui s’est confié à notre micro. Le souvenir de la tempête est toujours présent et s’y sont ajoutés les multiples problèmes administratifs, les requêtes pressantes des administrés, auxquelles la municipalité peine parfois à donner des réponses.

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#28 -"Ce qu’il s’est passé, c’est surréaliste"- Sébastien Olharan, maire de Breil-sur-Roya

Breil, un après-midi ensoleillé de fin d’été. Du rez-de-chaussée de la mairie s’échappe une odeur de peinture fraîche. Ici, des ouvriers travaillent encore à gommer les dégâts de la tempête. Il y a 11 mois, la catastrophe avait défiguré le village, emporté des habitants et c’était alors un jeune maire, fraîchement élu, que nous rencontrions dans son PC de crise. Aguerri, Sébastien Olharan, depuis élu conseiller départemental du canton de Contes (englobant toute la Roya), sait que la tempête restera un acte fondateur dans sa vie.

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#5 - Julien Espinosa (4/4) "J'aimerais que ma famille soit préservée de certains aspects du métier"

Beaucoup d'entraîneurs professionnels l'admettent : ce métier peut déborder sur la vie privée. Julien Espinosa pense que la séparation travail-famille peut se faire, mais à un certain prix. L'enchaînement des matchs peut également pousser les coachs à manquer des événements. " On passe tous à côté de plein de choses, tempère le natif de Nice. Ce à quoi je renonce, ce n'est pas quelque chose qui me manque. " Les carrières ne sont pas linéaires et peuvent entraîner des moments difficiles. " Ce qui peut être douloureux, c'est la façon dont la famille peut être impactée par les émotions négatives de mon métier. Les gens autour ne sont pas forcément formés pour gérer l'émotion d'un match. J'aimerais que ma famille soit préservée de certains aspects. " Notamment les critiques sur les réseaux sociaux, parfois virulentes même si le basket n'est pas le sport le plus médiatisé en France. " Je n'y attribue pas de valeur ni d'intérêt ", assure Julien Espinosa. Il reconnaît pourtant que sa famille doit apprendre à vivre dans un climat particulier, notamment lorsqu'il se fait limoger d'un club et doit changer de région.

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#5 - Julien Espinosa (3/4) "Il faut un président de club fort, un leader"

Il y a l'aspect technique, mais aussi l'aspect humain. Peut-être même en priorité. Si les entraîneurs professionnels doivent mettre en place des systèmes de jeu, ils doivent aussi trouver le juste milieu entre la rigidité et l'affect. Julien Espinosa a appris à le faire avec le temps. Primordial pour tenir son groupe mobilisé toute une saison. " Il faut une bonne raison pour se battre, pour sortir de sa zone de confort, assure le coach de 37 ans. Il faut une raison profonde pour remettre le couvert tous les matins. C'est intéressant à aller chercher chez les joueurs. " Un entraîneur doit également rendre des comptes à ses dirigeants, mais le Niçois ne le voit pas comme quelque chose de pesant. " Je ne fais pas de lien entre le fait d'avoir un supérieur hiérarchique et avoir une pression différente. La seule pression que je ressens, c'est celle que je me mets. " Président des Sharks à l'époque, Frédéric Jouve avait pourtant une méthode bien à lui. " Il était chiant pour ça, se marre Espinosa. Dès le lundi matin, il enlevait la moindre zone de confort potentielle. À chaque fois il me disait : " tu sais que le prochain match est fondamental ? " C'était sa manière de remettre tout le monde en selle. Le discours était ficelé ! " Le coach aime toutefois les dirigeants présents et impliqués. " Il faut un président fort, qui soit leader. "

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#5 - Julien Espinosa (2/4) "Les joueurs testent, ils observent"

En arrivant sur un banc de touche, un entraîneur doit faire ses preuves. Probablement un peu plus si son nom n'est pas connu des joueurs. C'était le cas de Julien Espinosa, il y a une dizaine d'années. Passé par le centre de formation d'Antibes, le natif de Nice n'a pas été basketteur professionnel. En devenant coach, il a donc dû se faire un nom. Et prouver qu'il n'était pas là par hasard. "Les joueurs testent, ils regardent, ils observent ", reconnaît-il. Aux Sharks d'Antibes, il a notamment dû gérer le "cas" Will Solomon, meneur américain d'expérience (et de caractère) passé par les meilleurs championnats du monde. Un exercice grandeur nature. "A l'époque, le président du club m'avait dit: Là où tu veux aller, des Solomon, tu en auras quatre ou cinq dans l'équipe. Donc tu ferais mieux d'apprendre à le gérer rapidement." Dans cette seconde partie du long entretien accordé à Nice Matin, Julien Espinosa revient sur sa quête de légitimité à ses débuts. Et la méthode adoptée pour évoluer au fil des années. "Chaque contexte nous donne une expérience nouvelle. Je pense que j'ai évolué."

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#6 - Julien Espinosa (1/4) "C'est un métier qui pousse à l'introspection"

Entraîneur des Sharks d'Antibes durant de longues années, Julien Espinosa a été le plus jeune technicien sur un banc de l'élite du basket français. Aujourd'hui âgé de 37 ans, il se livre sur ce métier qu'il continue de découvrir au fil des expériences. Et qui entraîne une remise en question permanente... "C'est un métier qui pousse à l'introspection", reconnaît-il, installé dans un bar de Saint-Laurent-du-Var. Avant de parler tactique, il faut d'abord réussir à comprendre son groupe pour le guider du mieux possible. " Il faut avoir une capacité d'écoute et d'observation de ses joueurs. " Et surtout être prêt à s'investir au quotidien, même si la tâche peut parfois s'avérer ingrate. " Il faut que ce soit une passion au départ."

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#5 - Marjan Kolev (4/4) Il faut cibler le bon moment pour passer un message"

Dans cette dernière partie de l'entretien consacré à son métier, le coach de l'OGC Nice handball, Marjan Kolev, se livre sur les différences entre un groupe féminin et masculin et aborde la question des leaders de vestiaires. Il a connu les deux. Débuter avec les garçons, avant de basculer avec les filles. Entraîneur de l'OGC Nice handball, Marjan Kolev pointe des similitudes... mais aussi des différences dans la vie de groupe. Pour faire passer son message, il a parfois besoin de joueurs cadres. Mais il doit surtout être capable de donner les bonnes consignes au bon moment. Pas toujours évident, avec des profils bien différents entre joueurs (ou joueuses) en devenir et éléments expérimentés.

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