LONG FORMAT. Les restaurateurs face au confinement et la Covid-19: découvrez notre enquête en vidéo

Comme de nombreux professionnels, les restaurateurs ont subi de plein fouet la crise de la Covid-19. Nous sommes allés à la rencontre de cinq restaurateurs azuréens pour savoir comment ils ont vécu les confinements successifs.

La rédaction Publié le 19/05/2021 à 09:15, mis à jour le 19/05/2021 à 09:15
Alex Ricci dans son restaurant pendant le deuxième confinement au mois de novembre. Photo Franck Fernandes

Fermer le rideau. Rouvrir. Fermer à nouveau. Rouvrir. Pour les restaurants, les bars et les cafés sont dans un mauvais rêve depuis un an. Certains tentent de se réinventer pour survivre. D'autres accumulent les dettes et les crédits. Quelques gérants ont tout simplement décidé de mettre la clé sous la porte. Trop de pression. Un avenir trop incertain.

Nous les avons rencontrés. Ils nous racontent comment ils ont vécu les confinements. 

Chez certains, un sentiment d'injustice domine. "Qu'est-ce qui prouve que la deuxième vague soit due aux restaurateurs plus qu'à d'autres?" s'interroge Caroline Boireau, gérante du food truck The Mother Trucker dans les Alpes-Maritimes. "Pour moi, les restaurateurs, en respectant les distances, sont peut-être ceux qui ont le plus empêché la propagation: mettre des masques pendant le service, nettoyer les chaises, nettoyer les tables, mettre des gants... "

"On peut faire tout ça, abonde Jacques Rolancy, gérant du restaurant Le Rolancy's à Nice. Mais pour ça, il faut que les gens puissent venir chez nous". Las, le restaurateur a décidé de se mettre en liquidation.

Sont présents dans ce reportage:

👩‍🍳 Caroline Boireau, gérante du foodtruck Mother Trucker à Cagnes-sur-mer
👨‍🍳 Mauro Colagreco, chef trois étoiles du restaurant le Mirazur à Menton
👨‍🍳 Alex Ricci, chef du restaurant Geppetto à Nice
👨‍🍳 Jacques Rolancy, meilleur ouvrier de France, chef du Rolancy's
👩‍🍳 Julie Trautmann, co-gérante du restaurant Les Balancelles à Nice

Une enquête de Margot Mentha, Franck Fernandes & Philippe Bertini. 

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