A l'occasion de la Fête nationale, le prince Albert II a accordé un entretien exclusif à Monaco-Matin (à paraître lundi et mardi dans le journal papier) où il partage notamment sa satisfaction après la décision des équipes de la Formule 1, annoncée le 14 novembre dernier, de prolonger jusqu'en 2031 le contrat qui les lie au Grand Prix de Monaco.
"On ne peut que se réjouir de cette nouvelle. Je savais que c’était en bonne voie, dès mercredi [13 novembre], à la fois le président de l’Automobile Club, Michel Boeri, et Stefano Domenicali [patron de la F1, NDLR] m’en ont informé. Il restait quelques détails à régler qui ont pris un peu plus de temps que prévu", explique le Souverain dans l'interview à paraitre dans les colonnes de Monaco-Matin.
"Je pense, sans trop m’engager, que ce sera aussi renouvelé après cette date"
"Il a fallu trouver des compromis, pas comme tout le monde l’imagine sur le prix du plateau, mais sur différents aménagements, pour que Liberty Media puisse recevoir de plus en plus d’invités. Et tout le monde sait que ce n’est pas facile de trouver de la place au bord du circuit."
Le nouveau contrat acte le prolongement de ce partenariat qui devait prendre fin en 2026, jusqu'en 2031. "Nous avons maintenant cette perspective à six ans", se félicite le Souverain, qui s'est montré confiant, aussi, sur l'avenir de cette compétition mythique en Principauté qui se tient chaque année au mois de mai depuis 1929 (1950 pour la F1, qui fêtera ses 75 ans en 2025). "Je pense, sans trop m’engager, que ce sera aussi renouvelé après cette date."
De quoi satisfaire aussi Charles Leclerc, le pilote monégasque vainqueur à domicile du Grand Prix 2024, qui sait qu'il pourra performer encore quelques années dans son pays.
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