Le nouveau jeu d’M6 débarque ce jeudi soir: un Varois ou un Azuréen peut-il remporter "99 à battre"?

Animé par Eric Antoine et Juju Fitcats, "99 à battre" est le nouveau jeu d’M6: 100 candidats s’affrontent sur plusieurs épreuves, avec 100.000 euros à la clé pour le seul vainqueur. Parmi eux, dix Azuréens et Varois.

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Mathieu Faure Publié le 07/08/2025 à 13:00, mis à jour le 07/08/2025 à 13:00
Marion, 31 ans, vit à Pierrefeu. Photo G. Mirand/M6

Ils s’appellent Ali, Morgan, Hager, Christian, Margot, Marion, Defne, Anne-Marcelle, Odette, Gérard, ils viennent de Nice, Cagnes-sur-Mer, Saint-Laurent-du-Var, La gaude, Cannes, Pierrefeu-du-Var, Toulon, Agay ou encore La Seyne-sur-Mer, et espèrent être l’heureux élu qui remportera les 100.000 euros du nouveau jeu d’M6, 99 à battre, présenté par Eric Antoine et Juju Fitcats.

Un nouveau jeu fou dans lequel 100 candidats, de tous les âges, de toute la France, vont s’affronter sur différentes épreuves aussi folles que ludiques (faire voler un avion en papier le plus loin possible, construire un meuble en kit, enlever une chemise boutonnée à une main, etc.) avec comme seul et unique but de ne pas terminer dernier de chaque épreuve afin de ne pas être éliminée.

Pour Marion, 31 ans, commerciale dans le Var et qui vit à Pierrefeu-du-Var, l’aventure a débuté sur la toile. "J’ai vu une story sur les réseaux sociaux autour d’un jeu avec 100.000 euros à gagner à la clé, j’ai envoyé un message et j’ai ensuite été castée et sélectionnée. Ce sont des jeux bon enfant, assez ludique, pas besoin d’être stratège. J’ai essayé de me renseigner sur internet pour comprendre dans quoi je m’embarquais car il y avait eu une version en Belgique, mais j’ai trouvé peu de choses donc je suis partie dans le jeu sans préparation, il faut accepter que la chance soit de votre côté, car comment se préparer à faire un shifumi avec vos amis en gros?", poursuit-elle.

Un saut dans l’inconnu

Dans le département voisin des Alpes-Maritimes, Morgan, ancien militaire de 40 ans qui s’est lancé dans un projet de drones et qui vit à Cagnes-sur-Mer, l’aventure a été le fil rouge de sa candidature. "Je me suis engagé dans l’armée à 17 ans, au 3e RIMa de Fréjus, j’avais fait la première saison de Ninja Warriors sur TF1 et je pense que mon contact était resté dans les petits papiers de la production, rembobine-t-il. On m’avait présenté ça comme une émission d’envergure, avec pas mal de jeux. Je suis un joueur par essence, donc ça me plaisait. C’est un saut dans l’inconnu, au même titre que ma première dans Ninja Warrior, et la découverte me passionne, c’est mon moteur".

Pour cette grande première, M6 a vu les choses en très grand avec un terrain de jeu aux dimensions XXL. De quoi surprendre les candidats? Pas forcément. En revanche, la teneur des épreuves a vite fait de déstabiliser les compétiteurs. Marion: "Il faut croire en sa bonne étoile car les épreuves sont imprévisibles. L’une d’entre elles consistait à fabriquer un avion en papier et le faire voler le plus loin possible, et je me suis maudite car la semaine précédente, mon beau-fils avait fabriqué un aéroport en papier dans notre salon et il m’avait proposé de m’expliquer comment les fabriquer et j’avais refusé (rires)".

Et les candidats sont assez unanimes: pour espérer empocher les 100.000 euros, il n’y a pas de recette miracle tout établie. "Rien ne peut s’anticiper dans ce jeu car vous êtes challengé sur des choses que vous avez déjà faites, d’autres un peu faites ou beaucoup en fonction de vos centres d’intérêt, détaille Morgan. Tout le monde a ses chances en fait, ce sont des épreuves que l’on peut reproduire à la maison. Il n’y a pas de profils types pour aller au bout, on essayait tous de regarder qui était costaud physiquement au début de l’émission alors que quelqu’un qui a un esprit logique ou de l’équilibre, ce n’est pas marqué sur son front. Pour briller dans ce jeu, il faut toucher un peu à tout".

Une vraie bienveillance

Malgré l’esprit de compétition qui règne entre eux - rien à voir avec Squid Game cela dit - les candidats ont très vite pris soin les uns des autres.

"Dès le premier jour, il y avait une ambiance de compétition puis c’est devenu de la bienveillance, de l’entraide, on ne se tirait pas dans les pattes", se souvient Marion. "Il y avait une vraie bienveillance entre les candidats, on a très vite oublié les 100.000 euros car on était pris dans le jeu, on s’est surtout tourné les uns vers les autres, conclut Morgan. Mais je retiens de cette expérience une nouvelle foi en l’humanité, ce n’est pas totalement perdu. On est surconnecté au détriment des relations humaines et là, dans cette émission, on s’est de nouveau intéressé les un aux autres, le jeu a une vraie dimension humaine".

Le Cagnois d’adoption a d’ailleurs une formule idoine pour résumer ce que vous allez voir sur M6: "Un challenge permanent avec des épreuves incroyables dans un dispositif fou où tout le monde a sa place".

Ce jeudi à 21h10, sur M6.

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