Bernard Tanguy : "On peut encore continuer à rêver à 50 ans"

Rencontre avec le réalisateur Bernard Tanguy, à l'occasion de la sortie du film "Parenthèse", qui met le cap sur les îles d'Or.

Guillaume Aubertin Publié le 27/07/2016 à 18:27, mis à jour le 27/07/2016 à 18:27
L’équipe du film Parenthèse s’est retrouvée lors de l’avant-première, la semaine dernière à Hyères. De gauche à droite : Bernard Tanguy (le réalisateur), accompagné par les acteurs Anne Serra, Vincent Winterhalter, Sophie Verbeeck, Gilles Gaston-Dreyfus, Dinara Droukarova et Eric Viellard. Guillaume Aubertin

Lorsqu’il y a dix ans, Bernard Tanguy et son frère Hervé ont commencé à se pencher sur le scénario de Parenthèse (dans les salles depuis la semaine dernière), ils savaient déjà où ils allaient. C’était donc écrit: l’action du film se passera aux alentours des îles d’Or. Un endroit que le réalisateur connaît bien pour avoir passé de nombreux étés dans le coin, sa mère étant toulonnaise… Et comme Bernard Tanguy tenait à "faire un film personnel""quasiment tout ce qu’il se passe sur le bateau m’est déjà arrivé" –, il n’a donc pas cherché très loin pour trouver "ce décor magnifique rempli de magie". Le public, lui, devrait apprécier les images (notamment aériennes) tournées par le réalisateur. Puisqu’en dehors de quelques scènes tournées à Paris, tout se passe entre le Lavandou, Porquerolles et Port-Cros.

Comme souvent, l’œuvre est à l’image de son auteur : inclassable, sensible, doux, profond et drôle. Le pitch? Trois quinquas se retrouvent sur un voilier dans l’espoir de renouer avec leur vingt ans. En route, ils croisent trois jeunes femmes qu’ils embarquent à bord et qui risquent de tout faire chavirer. Leur cœur comme le bateau. "C’est un vrai buddy movie (film de potes) entre la comédie et le cinéma d’auteur populaire", décrypte Bernard Tanguy. On y parle "d’amour", de "nostalgie", de "peur de vieillir" et de "jeunesse" aussi. Autant de sentiments qui ont toujours animé le réalisateur, pour qui, c'est certain: "on peut encore continuer à rêver à 50 ans".


Retrouvez l'article complet dans l'édition de demain, dans le Journal de l'été du jeudi 28 juillet 2016.

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