Fermeture de Marineland: pour l’association One Voice, "ce n’est pas la fin du combat"

L’association était présente devant l’hôtel Marineland, le dernier jour d’ouverture du parc, pour "évoquer l’inquiétude quant à l’éventuel projet du parc de disperser les captifs dans plusieurs delphinariums européens et internationaux".

Elodie Longépé Publié le 06/01/2025 à 08:05, mis à jour le 06/01/2025 à 08:30
Muriel Arnal, la présidente fondatrice de One Voice. Photo Patrice Lapoirie

Devant l’hôtel Marineland, hier après-midi, les militants One Voice étaient rassemblés. Pour une dernière manifestation? Il semblerait que non, car "aujourd’hui, ce n’est pas une victoire qui nous rassemble. Si nous sommes ici, c’est pour évoquer l’inquiétude quant à l’éventuel projet du parc de disperser les captifs dans plusieurs delphinariums européens et internationaux. Le parc impose un avenir bien sombre aux animaux, qui ont fait sa fortune et celle des actionnaires."

"On a jamais demandé la fermeture, explique Muriel Arnal, la présidente fondatrice de One Voice. Ce n’est pas pour nous la fin du combat."

L’association souhaite que Marineland se transforme en parc d’attractions sans animaux, "pour garder tous ses salariés, et que les animaux soient placés dans les refuges et les sanctuaires, comme c’était le cas dans la loi, de façon à ce qu’ils n’aillent pas à nouveau être captifs et que ça s’arrête."

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