Lenny Martinez au départ de la Classic Var et du Tour des Alpes-Maritimes

Le Varois Lenny Martinez, qui a rejoint cet hiver la formation Bahrain Victorious, démarrera la saison à domicile, sur la Classic Var (le 21 février). Le grimpeur de 21 ans, qui nous a dévoilé son programme, enchaînera avec le Tour des Alpes-Maritimes (22-23 février) puis les grandes courses d’une semaine, dont Paris-Nice. Avec la volonté d’intégrer les top 10.

Pierre-Mickaël Ayi Publié le 18/01/2025 à 18:50, mis à jour le 23/01/2025 à 18:14
Lenny Martinez sera, à tout juste 21 ans, l’un des leaders de la Bahrain Victorious en 2025. (Photo DR)

Nouvelle année, nouveau domicile (il réside désormais à Andorre), nouvelle équipe. Lenny Martinez sera, à tout juste 21 ans, l’un des leaders de la Bahrain Victorious Merida Bikes pour la saison 2025 sur les "courses d’une semaine" et les grands tours.

Le natif de Cannes, actuellement en stage en altitude sur l’île de Tenerife, ne sait pas trop "où [il se] situe" physiquement. Mais c’était la même chose l’an dernier et il avait "scoré" – l’expression des cyclistes – d’entrée sur la Classic Var, le 16 février.

Dans la continuité de sa précoce éclosion, le grimpeur va remettre la machine en route dans le Sud-Est, nous a-t-il confié vendredi. L’ancienne pépite de la Groupama FDJ défendra son titre sur la Classic Var, le vendredi 21 février, à deux pas de sa maison d’enfance de Montauroux (l’arrivée est jugée à Fayence), avant d’enchaîner avec le Tour des Alpes-Maritimes, samedi 22 et dimanche 23 février.

Découverte de la Flèche Wallonne

S’il fréquentera ensuite les routes bien connues de la Catalogne (Volta Ciclista a Catalunya du 18 au 24 mars), Lenny Martinez découvrira l’intensité des grandes courses d’une semaine, à savoir Paris-Nice (du 9 au 16 mars), le Tour de Romandie (du 29 avril au 4 mai) et le Critérium du Dauphiné (du 8 au 15 juin), pour une préparation somme toute traditionnelle au Tour de France. "J’étais un peu plus loin des tops 10l’an dernier sur les “courses d’une semaine", j’espère pouvoir les intégrer plus régulièrement », pose-t-il.

Si elle demeure son objectif phare à long terme, sa participation à la Grande Boucle est toutefois loin d’être acquise à cette heure. "Il faudra voir", glisse-t-il.

Ce programme inédit devrait délivrer une soixantaine de jours de compétition jusqu’en fin de saison, avec l’objectif de s’aligner sur la Flèche Wallonne (23 avril), "une arrivée qui [lui] plaît bien", pour ce qui serait sa première participation à une classique printanière UCI World Tour.

L’an dernier, le fils de Miguel Martinez avait levé les bras à cinq reprises (Classic Var, Trofeo Laigueglia, Mercan’Tour Classic Alpes-Maritimes, Classic Grand Besançon Doubs, Tour du Doubs), au cœur d’une saison où il avait marqué les esprits.

Nouvelle année, nouveau domicile (il réside désormais à Andorre), nouvelle équipe. Lenny Martinez sera, à tout juste 21 ans, l’un des leaders de la Bahrain Victorious Merida Bikes pour la saison 2025 sur les "courses d’une semaine" et les grands tours.

Le natif de Cannes, actuellement en stage en altitude sur l’île de Tenerife, ne sait pas trop "où [il se] situe" physiquement. Mais c’était la même chose l’an dernier et il avait "scoré" – l’expression des cyclistes – d’entrée sur la Classic Var, le 16 février.

Dans la continuité de sa précoce éclosion, le grimpeur va remettre la machine en route dans le Sud-Est, nous a-t-il confié vendredi. L’ancienne pépite de la Groupama FDJ défendra son titre sur la Classic Var, le vendredi 21 février, à deux pas de sa maison d’enfance de Montauroux (l’arrivée sera jugée à Fayence), avant d’enchaîner avec le Tour des Alpes-Maritimes, samedi 22 et dimanche 23 février.

Découverte de la Flèche Wallonne

S’il fréquentera ensuite les routes bien connues de la Catalogne (Volta Ciclista a Catalunya du 18 au 24 mars), Lenny Martinez découvrira l’intensité des grandes courses d’une semaine, à savoir Paris-Nice (du 9 au 16 mars), le Tour de Romandie (du 29 avril au 4 mai) et le Critérium du Dauphiné (du 8 au 15 juin), pour une préparation somme toute traditionnelle au Tour de France. "J’étais un peu plus loin des tops 10l’an dernier sur les “courses d’une semaine", j’espère pouvoir les intégrer plus régulièrement », pose-t-il.

Si elle demeure son objectif phare à long terme, sa participation à la Grande Boucle est toutefois loin d’être acquise à cette heure. "Il faudra voir", glisse-t-il.

Ce programme inédit devrait délivrer une soixantaine de jours de compétition jusqu’en fin de saison, avec l’objectif de s’aligner sur la Flèche Wallonne (23 avril), "une arrivée qui [lui] plaît bien", pour ce qui serait sa première participation à une classique printanière UCI World Tour.

L’an dernier, le fils de Miguel Martinez avait levé les bras à cinq reprises (Classic Var, Trofeo Laigueglia, Mercan’Tour Classic Alpes-Maritimes, Classic Grand Besançon Doubs, Tour du Doubs), au cœur d’une saison où il avait marqué les esprits.

 

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