Après une première édition qui a été un succès, la Ville et son service jeunesse réitèrent l'événement qui s'adresse aussi bien aux collégiens qu'aux lycéens : la 2e édition du Salon de l'orientation et de la formation professionnelle se déroulera mercredi 16 octobre au palais de l'Europe. Et bonne nouvelle, cette année, il s'étale sur la journée : de 9 h 30 à 16 h 30 (et non plus seulement sur une matinée comme l'an passé).
Le matin, il sera plutôt réservé aux élèves, qui viendront par classe en compagnie de leur professeur ; l'après-midi, il sera également ouvert aux familles.
53 intervenants et une conférence
D'ailleurs, organisé en partenariat avec le CIO (Centre d'information et d'orientation) de Menton et la Mission locale Est 06, ce salon devrait accueillir cette année au moins 600 jeunes - ils étaient 250 l'année dernière - issus de tous les établissements secondaires du territoire de la Riviera française (Menton, Sospel, Breil, Roquebrune-Cap-Martin et Saint-Dalmas).
« Tous les jeunes qui se rendront au palais de l'Europe sont préparés en amont grâce à un questionnaire établi par le CIO, afin de les aider à mieux utiliser ce salon en fonction de leur centre d'intérêt », explique Habiba Paillac, conseillère municipale en charge de la jeunesse.
« On fait un salon qui correspond à un vrai travail de fond pour aider les collégiens et les lycéens à s'orienter », ajoute le maire, Jean-Claude Guibal.
Plus d'une cinquantaine d'intervenants seront présents et parleront de leur métier dans de nombreux domaines : hôtellerie-restauration, santé et social, sports et animations, bâtiment industrie, artisanat, insertion et formation professionnelle, automobile, nautisme, secteur tertiaire… Seront aussi évoqués : les centres de formation, les contrats d'apprentissage, les contrats de professionnalisation…
Point d'orgue du salon : une conférence sera donnée à 14 heures par la directrice du CIO sur le thème de la formation après le bac : « Les formations post-bac et Parcoursup ». Un sujet qui devrait intéresser autant les jeunes que leurs parents encore plongés dans l'inconnu face à la réforme du bac qui se profile à horizon 2021.
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