En décidant d'inviter régulièrement ses meilleurs clients, le Casino de Monte-Carlo renoue avec la tradition des grands dîners. Après les rendez-vous « surréalistes », la soirée de vendredi a été mise en scène dans un goût bien plus sage sous le titre Lights of gaming. De l'Atrium à la salle Médecin, la dominante noire des sols et des murs imposait l'élégance. Une élégance incarnée par la présence du Prince Albert II et de la princesse Caroline de Hanovre.
Cent vingt convives ont été accueillis pour un cocktail avant d'être placés, à la lumière d'une lanterne, à l'une des deux très longues tables parées de miroirs et généreusement fleuries.
C'est ainsi que les parois du bel espace se sont délicatement illuminées quand le journaliste Darren Tulett a lancé la soirée avec le compositeur et chef d'orchestre Thomas Roussel. Le repas s'est déroulé en quatre actes, conçu par l'Atelier LUM sous l'égide du chef Thierry Saez Manzanares. L'Enfance, la Peur, le Combat et l'Amour étaient au menu des intermèdes musicaux et chorégraphiques, évoquant les sensations du joueur. Quatre tableaux au cours desquels les jeux de lumières façon « mapping » ont particulièrement ravi les convives. Puis, les tables de jeux, dont la roulette française « ADN du jeu du Casino de Monte-Carlo », ont été ouvertes à la fin du dîner.
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