On ne peut pas accorder à vie des passe-droit

Albert Croési, notamment chargé du relogement des locataires des Jardins d'Apolline depuis près d'un an, considère que l'État a fait un effort considérable pour gérer la crise

Article réservé aux abonnés
Propos recueillis par Joëlle Deviras Publié le 31/05/2018 à 05:02, mis à jour le 31/05/2018 à 05:02
Albert Croési, « Monsieur Apolline » depuis juin 2017.
Albert Croési, « Monsieur Apolline » depuis juin 2017.

Alors que la crise des Jardins d'Apolline se gère avec une volonté appuyée du gouvernement reconnue par tous, les résidents déjà relogés ou encore dans les cartons de déménagement envisagent déjà leur retour. Dans nos colonnes, le 22 mai dernier, la présidente de l'association des résidents, Céline Lubert, exprimait le souhait de créer un système d'attribution alternatif pour la cinquantaine d'appartements construits dans les deux étages surélevés. « Certains peuvent vouloir prétendre à un appartement en étage plus élevé, plus grand, un appartement différent. »

Aujourd'hui, Albert Croesi, chargé de mission auprès du ministre d'État et conseiller interministériel depuis juin 2017, explique la position du gouvernement et dresse, plus globalement, un tableau de la situation du logement à Monaco.

“Rhôooooooooo!”

Vous utilisez un AdBlock?! :)

Vous pouvez le désactiver juste pour ce site parce que la pub permet à la presse de vivre.

Et nous, on s'engage à réduire les formats publicitaires ressentis comme intrusifs.

Monaco-Matin

Un cookie pour nous soutenir

Nous avons besoin de vos cookies pour vous offrir une expérience de lecture optimale et vous proposer des publicités personnalisées.

Accepter les cookies, c’est permettre grâce aux revenus complémentaires de soutenir le travail de nos 180 journalistes qui veillent au quotidien à vous offrir une information de qualité et diversifiée. Ainsi, vous pourrez accéder librement au site.

Vous pouvez choisir de refuser les cookies en vous connectant ou en vous abonnant.