Monaco combat la traite des enfants au Sénégal

Le 20 septembre, Isabelle Berro-Amadeï, ambassadeur, Représentant permanent de Monaco auprès de l'ONUDC (Office des Nations unies contre la drogue et le crime) et Jean-Luc Lemahieu, directeur de la Division de l'analyse des politiques et des relations publiques au siège de l'ONU, ont signé, à Vienne, un nouvel accord de partenariat qui vise à poursuivre l'assistance aux victimes de la Traite au Sénégal, notamment les enfants.

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Publié le 26/09/2018 à 05:11, mis à jour le 26/09/2018 à 05:11
Isabelle Berro-Amadeï et Jean-Luc Lemahieu ont renouvelé le partenariat entre le gouvernement princier et l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime.	(DR)
Isabelle Berro-Amadeï et Jean-Luc Lemahieu ont renouvelé le partenariat entre le gouvernement princier et l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime. (DR)

Le 20 septembre, Isabelle Berro-Amadeï, ambassadeur, Représentant permanent de Monaco auprès de l'ONUDC (Office des Nations unies contre la drogue et le crime) et Jean-Luc Lemahieu, directeur de la Division de l'analyse des politiques et des relations publiques au siège de l'ONU, ont signé, à Vienne, un nouvel accord de partenariat qui vise à poursuivre l'assistance aux victimes de la Traite au Sénégal, notamment les enfants.

Particulièrement engagé dans la protection de l'enfance vulnérable, le gouvernement princier collabore avec l'ONUDC depuis 2011 sur cette problématique.

200 victimes prises en charge

Ce partenariat a d'ores et déjà permis la prise en charge directe de 200 victimes, l'appui à la création d'une cellule nationale de lutte contre la traite ou encore la formation de magistrats et de policiers sénégalais sur la prise en charge des cas spécifiques.

Au Sénégal, plus de 100 000 enfants sont contraints quotidiennement à la mendicité forcée.

Cette troisième phase du programme (2018-2020) a pour objectif de renforcer la protection et l'assistance des victimes, d'accompagner l'État sénégalais dans son intervention et de mobiliser le grand public sur les mesures de protection existantes dans ce domaine et les risques encourus pour les auteurs de la traite des enfants.

De 2011 à 2020, le gouvernement monégasque aura ainsi alloué plus d'un million d'euros à ce programme.

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Monaco-Matin

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