Le Rotary Club récolte 10 000 euros pour Pelagos

230 convives venus de la Principauté, d'Italie et de la région voisine se sont réunis au Méridien Beach Plaza pour renouveler leur soutien initial au sanctuaire pour les mammifères marins

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J.D. Publié le 23/05/2018 à 05:14, mis à jour le 23/05/2018 à 05:14
Autour du prince Albert II, le Rotary Club de Monaco a réuni 230 convives qui souhaitent s'investir en faveur de l'environnement marin au travers de l'accord Pelagos.
Autour du prince Albert II, le Rotary Club de Monaco a réuni 230 convives qui souhaitent s'investir en faveur de l'environnement marin au travers de l'accord Pelagos. Newday

Le saviez-vous ? Le sanctuaire Pelagos des mammifères en Méditerranée, qui s'étend sur une zone qui couvre Monaco, la France est l'Italie, est une initiative du Rotary lancée il y a plus de trente ans.

À l'aune des 20 ans de l'accord signé entre les trois pays, l'association a voulu réaffirmer son engagement en faveur de la protection du milieu marin. « Notre club manquait d'initiatives autour de l'environnement », souligne Léonard Jacquot, président du Rotary Club de Monaco.

Dix mille euros ont ainsi été récoltés dans le cadre d'une soirée qui a rassemblé, autour du prince Albert II, président d'honneur du Rotary Club de Monaco, quelque 230 convives venus des trois pays cosignataires.

Trois actions financées

Il aura fallu plus d'une dizaine d'années pour que le projet initial des Rotariens aboutisse à un accord entre Monaco, la France et l'Italie. C'était en 1999… Aujourd'hui, l'accord Pelagos est présidé par le Monégasque Cyril Gomez et le Rotary veut réaffirmer son engagement en faveur de l'environnement marin en finançant différentes actions. Fanny Dubois, secrétaire exécutive du sanctuaire Pelagos, également Rotarienne de Gènes depuis cinq ans, a souligné « l'importance des ONG » dans le financement des actions menées, souvent discrètement, tout au long de l'année.

Le Rotary s'apprête donc à participer à une action de communication, une collecte de déchets sur les plages et financer en partie l'équipement des navires de systèmes anti-collision, la collision étant une des premières causes de mortalité des mammifères marins.

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