Qui a dit que la politique française n'intéressait pas les Monégasques ? Avant même que ne débute l'entretien, Laurent Nouvion ne peut s'empêcher de commenter le premier tour de la présidentielle. Sans pour autant livrer le nom du candidat vers qui son cœur serait allé, s'il avait été français. En amoureux de la politique, l'ex-président du Conseil national se passionne pour l'élection française. Mais sans doute moins que pour celle qui suivra, en Principauté cette fois-ci. Dans dix mois, les Monégasques seront appelés aux urnes dans le cadre des élections nationales. Un an jour pour jour après son éviction du siège de président - il a été détrôné le 27 avril 2016 par Christophe Steiner -, nous avons voulu savoir comment Laurent Nouvion se sentait dans son costume d'opposant dans sa propre majorité sortie des urnes en 2013. Et surtout, s'il envisageait de présenter une liste aux prochaines élections nationales.
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