La doyenne Yvonne Imbert souffle ses 104 bougies

Selon le listing du Centre communal d'action sociale, Yvonne Imbert, née le 11 octobre 1914 à Paris, serait la doyenne de Roquebrune-Cap-Martin.

Article réservé aux abonnés
L. BOXITT Publié le 13/10/2018 à 05:20, mis à jour le 13/10/2018 à 05:21
Yvonne Imbert a fêté ses 104 printemps.
Yvonne Imbert a fêté ses 104 printemps. L. B.

Selon le listing du Centre communal d'action sociale, Yvonne Imbert, née le 11 octobre 1914 à Paris, serait la doyenne de Roquebrune-Cap-Martin. Et, figurez-vous que cette demoiselle a fêté, jeudi, ses 104 ans au sein de l'Ehpad Orpea Les Citronniers dans le quartier de Carnolès.

« Ma maman a eu deux enfants, moi-même et Michel mon frère », expliquait Agnès, la fille d'Yvonne. Et d'ajouter : « Elle compte quatre petits-enfants et sept arrière-petits-enfants ! »

Pour cet anniversaire, Patrick Césari, le maire, a débouché le champagne en compagnie de Marie-Paule Gérard, la directrice de l'établissement. Il faut savoir qu'Yvonne est arrivée dans le bassin mentonnais « juste après la guerre, en 1946 », soulignait encore sa fille. Professionnellement parlant, elle a exercé en tant que sage-femme au sein de l'hôpital Saint-Roch à Nice. Enfin, et surtout, il faut savoir qu'Yvonne a été la femme de Charles Imbert qui fut maire de Roquebrune-Cap-Martin entre 1977 et 1982, et avocat de profession. Le mot de la fin revenait naturellement à Agnès qui se réjouissait de savoir que sa maman « adore participer aux activités artistiques mais aussi aux ateliers d'activités physiques adaptées ». Même à 104 ans, la forme c'est important !

“Rhôooooooooo!”

Vous utilisez un AdBlock?! :)

Vous pouvez le désactiver juste pour ce site parce que la pub permet à la presse de vivre.

Et nous, on s'engage à réduire les formats publicitaires ressentis comme intrusifs.

Monaco-Matin

Un cookie pour nous soutenir

Nous avons besoin de vos cookies pour vous offrir une expérience de lecture optimale et vous proposer des publicités personnalisées.

Accepter les cookies, c’est permettre grâce aux revenus complémentaires de soutenir le travail de nos 180 journalistes qui veillent au quotidien à vous offrir une information de qualité et diversifiée. Ainsi, vous pourrez accéder librement au site.

Vous pouvez choisir de refuser les cookies en vous connectant ou en vous abonnant.