La Casa de Papel rencontre notre Casa de Papel Q !

La série espagnole diffusée par Netflix a remporté la Nymphe d'Or de la meilleure série TV dramatique de l'année, hier au Grimaldi Forum. Ses créateurs et son acteur phare se confient

Article réservé aux abonnés
Propos recueillis par Thomas MICHEL Publié le 20/06/2018 à 05:20, mis à jour le 20/06/2018 à 05:20
Le poing rageur de la victoire pour Pedro Alonso, alias Berlin.
Le poing rageur de la victoire pour Pedro Alonso, alias Berlin. Jean-François Ottonello

On a bien cru qu'on ne verrait jamais Pedro Alonso. Que la police aux frontières, alertées par le casier judiciaire de son personnage psychotique (Berlin) dans la série la Casa de Papel, le menotterait à peine le pied posé sur le tarmac de l'aéroport de Nice. Finalement, Berlin était bien à Monaco, hier, pour recevoir la Nymphe d'Or de la « meilleure série TV dramatique » de l'année.

Plus tôt, il nous a confié adorer Cannes, Saint-Tropez, Monaco et particulièrement « la lumière » méditerranéenne. « J'ai l'impression de vivre dans un film des années dorées d'Hollywood. »

La veille de cet entretien, nous avions demandé aux « parents » de la série à succès de Netflix (lire ci-dessous) si le luxe monégasque n'était pas un appel au braquage. Hilare, son créateur, Álex Pina, avait concédé que c'était « un plan sur-mesure » pour Berlin. Alors on a posé la question à son interprète, Pedro Alonso… « Berlin est un personnage très perspicace et des fois on peut penser à sa façon, ce sont un peu des "Berlinades". Je détecte parfois des gens qui pourraient s'associer à Berlin pour faire de choses un peu folles. J'imagine bien Berlin entrer dans ces belles maisons à Monaco et créer du chaos un peu partout (rires). »

“Rhôooooooooo!”

Vous utilisez un AdBlock?! :)

Vous pouvez le désactiver juste pour ce site parce que la pub permet à la presse de vivre.

Et nous, on s'engage à réduire les formats publicitaires ressentis comme intrusifs.