L'Académie Princesse-Grace rentre dans la danse

Avec Les Ballets de Monte-Carlo, l'Académie Princesse-Grace, dirigée par Luca Masala, est le cocon des jeunes destinés à intégrer une grande compagnie de danse

Article réservé aux abonnés
J.D. Publié le 14/09/2016 à 05:05, mis à jour le 14/09/2016 à 05:05
Lundi, la cloche a sonné pour les jeunes de la Casa Mia. Après l'euphorie de la première heure, il faut maintenant sérieux, volonté et détermination pour conjuguer étude par correspondance et apprentissage aiguisé de la danse. Jean-François Ottonello

Dans l'enthousiasme, mais surtout le sérieux qu'impose la danse classique, les élèves de l'Académie Princesse Grace ont fait leur rentrée ce lundi 12 septembre. Chaque année, une quarantaine de jeunes danseurs, venus du monde entier, suit une formation de haut niveau.

Pendant quatre ans, de 14 à 18 ans, les élèves prennent des cours de danse classique, contemporaine, de caractère, ainsi que des cours de composition, méthode pilates, musique et histoire de la danse. À la villa Casa Mia de l'avenue de La Costa, les jeunes ont leur repaire. Ils travaillent et vivent sur place. En parallèle, ils poursuivent un cursus scolaire normal par correspondance.

Tremplin pour une vie (très) active dans une compagnie de danse, l'Académie Princesse Grace, dirigée par Luca Masala, sous la responsabilité des Ballets de Monte-Carlo, permet à ses élèves de décrocher un vrai emploi. En juin dernier, Katrin Schrader a été engagée aux Ballets de Monte-Carlo, Anaïs Touret a intégré Le Norwegian National Ballet (Norvège), Shuai Li danse maintenant pour le Bayerisches Staatsballett (Allemagne), Amanda Lana a été recrutée par le Royal Swedish Ballet (Suède), Wictor Hugo Pedroso a été engagé par le Béjart Ballet Lausanne (Suisse), Sofie Vervaecke a intégré le Staatstheater Ballett Nürenberg et Mélanie Lambrou aux Ballets des Saarländischen Staatstheaters (Allemagne).

“Rhôooooooooo!”

Vous utilisez un AdBlock?! :)

Vous pouvez le désactiver juste pour ce site parce que la pub permet à la presse de vivre.

Et nous, on s'engage à réduire les formats publicitaires ressentis comme intrusifs.

Monaco-Matin

Un cookie pour nous soutenir

Nous avons besoin de vos cookies pour vous offrir une expérience de lecture optimale et vous proposer des publicités personnalisées.

Accepter les cookies, c’est permettre grâce aux revenus complémentaires de soutenir le travail de nos 180 journalistes qui veillent au quotidien à vous offrir une information de qualité et diversifiée. Ainsi, vous pourrez accéder librement au site.

Vous pouvez choisir de refuser les cookies en vous connectant ou en vous abonnant.