
« Pour l'avoir vécu, le face-à-face est honnêtement la meilleure formule. »
Jean-Louis Grinda : Je suis de facto l'adversaire n°1 de Stéphane Valeri
Le 07/02 à 05h21 MàJ 07/02 à 05h21Au lendemain du débat retransmis en direct et qui l'a opposé à Stéphane Valeri, Jean-Louis Grinda se dit « heureux ». « Heureux d'avoir pu débattre », « heureux d'avoir lancé cette idée » et d'être parvenu à la concrétiser. La tête de liste Union monégasque est également satisfaite d'un face-à-face, qu'il juge, « pour l'avoir vécu », comme « la meilleure formule ».
Alors quand il s'agit d'évoquer Béatrice Fresko-Rolfo et un débat qui aurait pu avoir une autre forme avec Horizon Monaco, il sourit : « Elle a disparu dans le triangle des Bermudes. Madame Fresko n'a pas été exclue. Elle s'est sortie toute seule. Ce qui est le plus grave, c'est qu'elle a fait disparaître les 23 qui la suivent et a disqualifié son équipe toute entière. »
Face au nombre de vues en direct puis en replay annoncés par Stéphane Valeri et Jean-Louis Grinda - 2 356 vues sur leur site respectif, il est évident que ce rendez-vous était attendu. « Les gens ont pu se rendre compte à quelles personnalités ils avaient affaire. De Stéphane Valeri ou moi-même, personne n'a perdu. Je pense y avoir gagné une légitimité. La légitimité de la liste ne peut en aucun cas être remise en cause. Aujourd'hui, je suis, de facto, l'adversaire n°1 de Stéphane Valeri. » Alors, quand il est taxé d' « artiste du spectacle » par son opposant, il se lasse : « Stéphane Valeri commence à le dire un peu trop. Il faut se méfier du comique de répétition. C'est le procès en incompétence. Pourquoi pas un délit de sale gueule ? Stéphane Valeri utilise toutes les ficelles du populisme. Je suis le seul à m'opposer au danger de son programme. »
J.D.
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