Je me battrai pour le cirque avec des animaux

La princesse Stéphanie a ouvert hier le 42e festival de Monte-Carlo, qui célèbre les 250 ans du cirque. Une discipline où elle espère continuer à voir des numéros avec des animaux

Article réservé aux abonnés
Publié le 19/01/2018 à 05:05, mis à jour le 19/01/2018 à 05:05
La princesse Stéphanie, complice avec la jeune girafe de József et Merrylu  Richter, au moment des répétitions.
La princesse Stéphanie, complice avec la jeune girafe de József et Merrylu Richter, au moment des répétitions.

La machine est lancée. Le 42e festival international du cirque de Monte-Carlo a ouvert ses portes, hier soir, pour quinze représentations jusqu'au 28 janvier. À la manœuvre et à la présidence de l'événement, depuis 2005, la princesse Stéphanie est sur tous les fronts. Elle a sélectionné la trentaine de troupes venues du monde entier pour prendre part à la compétition dans ce festival, l'un des plus grands et prestigieux au monde.

Un festival qui rend cette année hommage à Philip Astley. Ce cavalier de l'armée britannique, il y a 250 ans, en dessinant une piste ronde de 13 mètres de diamètre aux abords du pont de Westminster à Londres - et en engageant jongleurs, équilibristes, funambules et dresseurs de chiens, a créé le cirque moderne.

Une discipline qui demeure, deux siècles et demi plus tard. « On a voulu célébrer cet anniversaire, en espérant que dans 250 ans, le cirque demeurera tel qu'on le connaît avec la magie que l'on retrouve dans tous ses numéros », commente la princesse Stéphanie. Qui, entre deux répétitions, a livré ses impressions sur cette 42e édition.

“Rhôooooooooo!”

Vous utilisez un AdBlock?! :)

Vous pouvez le désactiver juste pour ce site parce que la pub permet à la presse de vivre.

Et nous, on s'engage à réduire les formats publicitaires ressentis comme intrusifs.

Monaco-Matin

Un cookie pour nous soutenir

Nous avons besoin de vos cookies pour vous offrir une expérience de lecture optimale et vous proposer des publicités personnalisées.

Accepter les cookies, c’est permettre grâce aux revenus complémentaires de soutenir le travail de nos 180 journalistes qui veillent au quotidien à vous offrir une information de qualité et diversifiée. Ainsi, vous pourrez accéder librement au site.

Vous pouvez choisir de refuser les cookies en vous connectant ou en vous abonnant.