La machine est lancée. Le 42e festival international du cirque de Monte-Carlo a ouvert ses portes, hier soir, pour quinze représentations jusqu'au 28 janvier. À la manœuvre et à la présidence de l'événement, depuis 2005, la princesse Stéphanie est sur tous les fronts. Elle a sélectionné la trentaine de troupes venues du monde entier pour prendre part à la compétition dans ce festival, l'un des plus grands et prestigieux au monde.
Un festival qui rend cette année hommage à Philip Astley. Ce cavalier de l'armée britannique, il y a 250 ans, en dessinant une piste ronde de 13 mètres de diamètre aux abords du pont de Westminster à Londres - et en engageant jongleurs, équilibristes, funambules et dresseurs de chiens, a créé le cirque moderne.
Une discipline qui demeure, deux siècles et demi plus tard. « On a voulu célébrer cet anniversaire, en espérant que dans 250 ans, le cirque demeurera tel qu'on le connaît avec la magie que l'on retrouve dans tous ses numéros », commente la princesse Stéphanie. Qui, entre deux répétitions, a livré ses impressions sur cette 42e édition.
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