Baka is back On n’est pas là pour rigoler

Prêté par Chelsea, Tiemoué Bakayoko a retrouvé le Rocher deux ans après son départ. Le milieu est heureux « d’être de retour à la maison »

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Publié le 14/09/2019 à 10:14, mis à jour le 14/09/2019 à 10:15
« Mon premier but pour Monaco, dans un derby contre Nice. Le but de la victoire sur un centre de Joao Moutinho (1-0, saison 2015-16). C’est le bon moment de marquer son premier but dans un derby. Nice et Monaco étaient assez proches, on sentait une vraie rivalité. C’était très chaud, très serré ».
« Mon premier but pour Monaco, dans un derby contre Nice. Le but de la victoire sur un centre de Joao Moutinho (1-0, saison 2015-16). C’est le bon moment de marquer son premier but dans un derby. Nice et Monaco étaient assez proches, on sentait une vraie rivalité. C’était très chaud, très serré ».

Il y a 5 ans, on avait interviewé Tiemoué Bakayoko pour ses premiers pas à La Turbie. Il avait à peine 20 ans, venait de rater son permis de conduire et n’osait pas nous regarder dans les yeux. Trop timide.

Aujourd’hui, « Baka » est un homme. Il a pris de l’épaisseur, du muscle, de l’expérience et de l’assurance. Le charisme a pris la suite de la timidité et le joueur de 25 ans ne croise plus ses mains dans le dos, comme à l’école, quand vous lui posez une question. Alors que le garçon a retrouvé l’ASM en fin de mercato, on a voulu savoir en quoi Tiemoué avait changé en deux ans. Après tout, on l’avait quitté champion de France, international français et demi-finaliste de la C1. Et bien « Baka » n’a pas changé. Enfin si, il s’est bonifié et s’estime très heureux d’être « rentré à la maison » comme il le dit.

« On dirait que je ressemble à un enfant (rires, en juillet 2014). C’est mon premier transfert, je quitte Rennes où je viens de faire sept ans, c’est un grand pas en avant. C’était un moment très important dans ma carrière. ça me fait plaisir de revoir Vadim (Vasilyev, ancien vice-président). Il n’est plus au club, j’en suis triste car c’est quelqu’un qui a beaucoup compté pour moi. Je l’aimais beaucoup ».
« On dirait que je ressemble à un enfant (rires, en juillet 2014). C’est mon premier transfert, je quitte Rennes où je viens de faire sept ans, c’est un grand pas en avant. C’était un moment très important dans ma carrière. ça me fait plaisir de revoir Vadim (Vasilyev, ancien vice-président). Il n’est plus au club, j’en suis triste car c’est quelqu’un qui a beaucoup compté pour moi. Je l’aimais beaucoup ».
« Un but qui arrive au bon moment. Le but de la qualification en quart de finale de Ligue des champions contre Manchester City (mars 2017). Je ne sais pas si c’est notre meilleur match mais on avait été très fort ce soir-là. C’était beau de le faire au Louis-II, devant tout le monde, en éliminant Guardiola. C’était bien pour le club car on avait beaucoup bossé cette saison. Pas seulement nous, sur le terrain, mais tout le club dans son ensemble ».
« Un but qui arrive au bon moment. Le but de la qualification en quart de finale de Ligue des champions contre Manchester City (mars 2017). Je ne sais pas si c’est notre meilleur match mais on avait été très fort ce soir-là. C’était beau de le faire au Louis-II, devant tout le monde, en éliminant Guardiola. C’était bien pour le club car on avait beaucoup bossé cette saison. Pas seulement nous, sur le terrain, mais tout le club dans son ensemble ».
« Ce n’est pas un si bon souvenir que ça alors que c’est ma première sélection en équipe de France (mars 2017). C’est un bon et un mauvais souvenir en même temps. Je suis mitigé. Je fais une bonne rentrée même si je ne joue pas à mon poste, à droite d’un losange et en plus contre l’Espagne. Et je fais une petite erreur de passe sur l’action qui amène le penalty du deuxième but de l’Espagne. Tout n’est pas à jeter mais c’est mitigé. Il faut y retourner pour écrire une autre page. C’est un objectif à moyen terme. »
« Ce n’est pas un si bon souvenir que ça alors que c’est ma première sélection en équipe de France (mars 2017). C’est un bon et un mauvais souvenir en même temps. Je suis mitigé. Je fais une bonne rentrée même si je ne joue pas à mon poste, à droite d’un losange et en plus contre l’Espagne. Et je fais une petite erreur de passe sur l’action qui amène le penalty du deuxième but de l’Espagne. Tout n’est pas à jeter mais c’est mitigé. Il faut y retourner pour écrire une autre page. C’est un objectif à moyen terme. »

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