Le pilote moto français originaire de Monaco, qui a été « au bord de la rupture », trace sa route en s'accrochant lors de son premier Dakar. Entre espoirs et doutes, il livre ses confessions
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Propos recueillis par Vincent Beltran
Publié le 17/01/2018 à 05:12, mis à jour le 17/01/2018 à 05:12
« Une fois que l'on a été au bout de ses limites, on sait que l'on peut de nouveau relancer la machine », relate Adrien Maré, qui pointe à la 62e place du Dakar après huit étapes.Team Casteu
Il existe des périples que plusieurs vies ne pourraient suffire à effacer. Les pistes, le sable, les dunes et les roches d'Amérique du Sud laissent des traces sur le physique et le mental d'Adrien Maré. Mais dans cette 40e édition, le pilote français originaire de Monaco tient bon. Pour son premier Dakar, le trentenaire se classait 62e dimanche après huit étapes. Le membre du Team Casteu Aventure a pu se ressourcer lundi car la neuvième spéciale, prévue entre Tupiza (Bolivie) et Salta (Argentine), a été annulée par les organisateurs en raison du mauvais temps. Joint hier matin via l'application mobile WhatsApp depuis Salta - ville située à plus de 10 600 km de la Principauté -, Adrien Maré évoque, d'une voix rassurante et posée, sur fond de moteurs qui tournent, ses difficultés, ses réussites et ses espoirs quatre jours avant l'arrivée samedi à Córdoba.
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