Sapeurs-pompiers, Samu, sécurité civile… Les premiers services médicalisés portent assistance aux blessés, tentent de distinguer « urgences relatives » et « urgences absolues ». Peu à peu, des combinaisons dignes de cosmonautes font leur apparition : pompiers, démineurs, ou les tuniques bleues de Constox, la police technique et scientifique… A qui la priorité ? Pas évident. « C'est le terrain qui commande. La décision incombe au commandant des opérations de secours », estime le colonel Riquier. Alexandre Lerousseau le reconnaît : la coordination entre les services reste perfectible. « Soyons clairs : s'il y a une attaque de ce type, on sera toujours en mesure de faire face. Même si, en pareille circonstance, tout ne peut pas être parfaitement efficace. »
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