C’était la volonté de l’association Ecopolis, qui a imaginé cette passerelle, présentée l’an dernier. Le projet n’a pourtant, pas abouti. Le gouvernement n’ayant pas donné suite aux sollicitations de l’association.
Certains experts de la construction ont aussi avancé que les piles du bâtiment ne pourraient pas supporter la passerelle, longue de 275 mètres et installée huit mètres au-dessus de l’eau. Alors que l’étude de la structure faite par l’association dit le contraire.
Une idée originale pour financer le projet
Aujourd’hui, Ecopolis espère toujours arriver à convaincre de la nécessité et de l’esthétique de ce passage. D’autant que l’idée de son financement était aussi originale.
Pour couvrir les 7 à 10 millions d’euros d’investissement pour la construction, l’association avait pensé, à l’image des bancs de Central Park à New York payés par des bienfaiteurs qui peuvent y graver leur nom, faire payer chaque mètre de la passerelle par des mécènes ou des particuliers, qui pourraient inscrire leur nom ou leur logo dans les lattes de la promenade.
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