L'ASM, en cas de succès face à Chalon, prendrait une option pour la tête du championnat
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F.P.
Publié le 02/12/2017 à 05:14, mis à jour le 02/12/2017 à 05:14
Lacombe face à Kikanovic, lors de France-Bosnie (84-65), lundi à Rouen. Les deux compères se retrouvent aujourd'hui sous la tunique monégasque.AFP
C'est inédit dans l'histoire de la ProA, un champion de France dernier ex-aequo après dix journées. Il faut dire que le Chalon sacré en juin dernier ne ressemble plus guère à celui d'aujourd'hui. Pour remplacer les Robinson, Clark, Fall ou Bouteille, les Dorsey (ex-meneur du Portel, arrivé fin octobre), Rozenfeld, Farr, Gillet ou Gelabale n'ont pas encore trouvé la formule pour enflammer le Colisée... Mais comme dit Zvezdan Mitrovic, qui ne s'est pas reposé durant la trêve puisqu'il a dirigé la sélection du Monténégro face à l'Espagne et la Biélorussie.
« Chalon n'est pas à sa place,sa dernière victoire contre le HTV (82-67) a montré une montée en régime ». À l'instar de Monaco (Kikanovic, Gladyr, Lacombe), l'Elan a retrouvé ses internationaux (Nzeulie, Gillet, Boukichou). « Il faut se sortir de la zone rouge. Monaco, c'est très difficile, mais comme le match du Mans (où l'Elan s'est imposé 66-63), on va y aller sans pression, commente Jean-Denys Choulet, le coach chalonnais sur le site de l'Elan. Tout le monde s'attend à ce qu'on perde. Mais on va essayer de les perturber. Et sur un malentendu, on ne sait jamais... »
Durant la trêve, question entraînements, la Roca Team ne s'est accordé qu'un break de 3 jours « On espère ne pas avoir perdu notre rythme », glisse Mitrovic. L'ASM de Robinson, Evans, Craft, Sy et consorts reste sur une série de 12 victoires en 14 matches avec une forte - et heureuse - tendance à assurer le spectacle. En cas de succès sur l'Elan, la pression pour la première place serait sur Le Mans, qui se déplace demain à Villeurbanne.
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