Comment le prix hippique "Princesse Charlène" va aider 16 associations

Le 2e "Prix Princesse Charlène de Monaco - Charity Race" va se disputer ce samedi à l’hippodrome de Cagnes-sur-Mer. Jeudi au Yacht-club, par tirage au sort, chaque cheval a été associé à une association caritative. On vous explique ici le principe de course hippique atypique.

Arnault Cohen Publié le 23/02/2018 à 08:00, mis à jour le 22/02/2018 à 21:12
Gareth Wittstock, le frère de la princesse Charlène, et François Forcioli-Conti, le président de la Société des courses de la Côte d’Azur, ont associé chevaux et associations par tirage au sort. Photo Michael Alesi

Le tirage au sort a été réalisé par Gareth Wittstock, le frère de la princesse Charlène, et François Forcioli-Conti, le président de la Société des courses de la Côte d’Azur. Seize boules noires d’un côté, seize blanches de l’autre. Les noms des chevaux dans les premières et des associations dans les secondes.

Et ce samedi, lors de de la course de galop de 1.600m à l'hippodrome de Cagnes-sur-Mer, chaque cheval va donc courir pour une association. L'épreuve, un Quinté+, est dotée d'une somme de 50.000€ qui sera distribuée aux associations.

Comment? 10.000€ pour l'association dont le cheval gagnera la course, 6.000€ pour la deuxième "équipe", 4.000€ pour la troisième. Les treize autres associations se partageront le reste, soit environ 2.300€.

"Je suis heureuse que l’édition 2018 de ce Charity Race, ainsi que le prix qui porte mon nom, contribuent à venir en aide à la protection de l’enfance, aux personnes en difficulté et au bien-être des animaux", indique la princesse Charlène.

 

“Rhôooooooooo!”

Vous utilisez un AdBlock?! :)

Vous pouvez le désactiver juste pour ce site parce que la pub permet à la presse de vivre.

Et nous, on s'engage à réduire les formats publicitaires ressentis comme intrusifs.

Monaco-Matin

Un cookie pour nous soutenir

Nous avons besoin de vos cookies pour vous offrir une expérience de lecture optimale et vous proposer des publicités personnalisées.

Accepter les cookies, c’est permettre grâce aux revenus complémentaires de soutenir le travail de nos 180 journalistes qui veillent au quotidien à vous offrir une information de qualité et diversifiée. Ainsi, vous pourrez accéder librement au site.

Vous pouvez choisir de refuser les cookies en vous connectant ou en vous abonnant.