PHOTOS. On vous emmène dans les coulisses du Bal de la Rose de ce samedi soir
Ce samedi soir, quelque neuf cents convives se retrouvent pour le premier rendez-vous mondain de la nouvelle saison monégasque. Un événement sous le charme de la dolce vita. Le premier depuis bien longtemps sans le regretté Karl Lagerfeld...
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Joëlle DevirasPublié le 29/03/2019 à 20:46, mis à jour le 29/03/2019 à 20:50
William Lambourg, associé de Françoise Dumas, Françoise Dumas elle-même, David Alexis, metteur en scène, et Cécile Chaduteau, chorégraphe, sur une des passerelles où se produisent ce soir quelque trente-six danseurs et danseuses dans la salle des Étoiles du Sporting d’Été.Photo Jean-François Ottonello
"En octobre dernier, nous étions avec la princesse Caroline et Karl Lagerfeld qui lança soudain l’idée de faire le Bal de la Rose au Monte-Carlo Beach. Nous avons poussé des hurlements ! Alors, nous avons dit : “Très bien, nous allons faire le Beach au Sporting.” L’idée de cette 65e édition sur le thème de la Riviera est partie de là."
Ce vendredi, Françoise Dumas était partout pour régler les préparatifs du bal qui doit accueillir ce soir quelque neuf cents convives. L’organisatrice de la soirée donnée au profit de la Fondation Princesse-Grace, elle, en est à sa vingt-cinquième édition!
Mais la soirée aura ce soir une ambiance singulière sans la présence de Karl Lagerfeld. "Oui, c’est très émouvant car il était vraiment attaché à Monaco et nous a aidés durant de nombreuses années à la direction artistique. Il était très présent", explique Françoise Dumas. Elle se rappelle : "C’est en 1999 que Karl a commencé à collaborer avec nous ; à l’occasion du jubilé du prince Rainier III. Nous avions fait un bal mémorable avec un mannequin et une chanteuse : Carla Bruni et Line Renaud…"
Souvenirs, souvenirs… Mais aujourd’hui, "The show must go on!" lance Françoise Dumas.
Un bal léger, joyeux, festif
Le Tout-Monaco va découvrir une ambiance résolument légère, joyeuse, festive ; dans l’imagerie des plus belles heures de la Riviera.
À l’entrée du Sporting d’été, d’immenses toiles tendues déclinent le thème entre évocation du passé et architecture actuelle mais dans un mode illustratif comme d’immenses affiches du milieu du XXe siècle créées par Monsieur Z.
"Quand la décision du thème a été prise, le travail de Monsieur Z s’est imposé pour nous, explique William Lambourg, associé de Françoise Dumas. Il a une vraie passion pour la Riviera, sa lumière, son architecture… Il a réalisé beaucoup d’affiches. À Cannes, il a collaboré pour le Festival du film. Mais il n’avait jamais fait de décors si imposants. Il était très motivé quand nous l’avons sollicité en décembre. Puis il a, à sa façon, réinterprété les édifices de la SBM et les bâtiments de la Principauté. Nous voulions que l’ambiance soit vraiment baignée dans l’imagerie des années 50."
Et puis il y a le show… "Côté spectacle, avec David Alexis, le metteur en scène, et Cécile Chaduteau, la chorégraphe, nous avions en tête un personnage clé : Dolores, qui n’est pas sans rappeler la Dolores de Frank Sinatra. Elle arrive sur la scène en Riva et sera le fil rouge de la soirée."
Il s’agira d’une revue d’un soir, de quelque 45 minutes, dans l’esprit des premiers Bals de la Rose. Et les organisateurs promettent "pleins de surprises sur scène" !
Hier, toutes les équipes artistiques et techniques étaient à pied d’œuvre pour préparer la soirée.Photo Jean-François Ottonello.D’immenses toiles tendues illustrent les sites emblématiques de la Principauté.Photo Jean-François Ottonello.Un style années 50... mais avec l’architecture d’aujourd’hui.Photo Jean-François Ottonello.
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