Tout ce qu'il faut savoir avant le match AS Monaco-Stade de Reims

Le match 

Un nouveau coach, Niko Kovac, un nouveau directeur sportif, Paul Mitchell, une vague de rajeunissement sur le Rocher... Monaco semble repartir d’une page blanche et espère retrouver l’Europe au bout du chemin.

Pour cette première à la maison, dans le contexte spécial que l’on connaît (un cas de Covid à l’ASM, plus aucun au Stade Rémois), on attend de voir ce que vont donner les promesses de l’avant-saison.

La patte Kovac tient sans doute dans ce pressing haut, agressif, l’envie de jouer sur les côtés avec Gelson et Onyekuru pour servir au mieux le phénomène Wissam Ben Yedder.

En interne, Monaco se félicite de l’ambiance de son vestiaire. Kovac aurait à la fois la main ferme et le don du dialogue.

Mais l’ASM sait aussi qu’elle n’est pas encore prête, en tout cas pas encore au niveau auquel elle aspire, ce qui n’a rien d’illogique.

Dans la moiteur d’un coup d’envoi pas adapté à un mois d’août (13h), face à un Stade de Reims européen cette saison (pour la première fois après 57 ans), l’ASM risque de se heurter à un bloc plus homogène.

Si tous les réglages ne sont pas encore huilés, il serait bien que la qualité individuelle puisse déjà s’exprimer.

L’arrivée de Paul Mitchell, ancien des Red Bull, augure d’un mercato très actif jusqu’au 5 octobre, dans le sens des arrivées comme des départs.

Après deux saisons ratées, l’ASM doit une revanche à ses supporters.

Sans vouloir l’assumer officiellement, Monaco, avec un seul match par semaine, vise une place sur le podium. Un bon départ permettrait d’y croire avec plus de force.

Les compos probables

Le chiffre

169. Soit le nombre de jours qui séparent le dernier match officiel de l'AS Monaco de cette première journée de championnat. Et 176 jours depuis le dernier match au Louis-II du club de la Principauté... contre Reims (1-1).