Rony, ce match a été difficile mais vous avez finalement su réagir ?
Oui, Rennes était dans une bonne période (cinq succès d’affilée et une qualification contre Brest en Coupe de France, ndlr). Il faut féliciter le groupe pour cette prestation. On a mieux joué en seconde période, en créant des occasions. C’est une qualification méritée.
C’est la première fois cette saison que vous enchaînez deux résultats positifs après la victoire en Coupe de France à Canet ?
Ça nous donne de la confiance. Tout le monde a vu ce soir (lire mercredi) que l’équipe était mieux. C’est ça le chemin à suivre désormais. Essayer d’être meilleurs à chaque match.
Vous êtes déjà décisif Rony, comme l’an dernier. Quel est le secret Lopes ?
(Il rit) J’essaie juste d’amener des choses positives au groupe. J’ai beaucoup travaillé pendant quatre mois et je suis heureux d’avoir marqué pour ma première titularisation. Blessé, ça a été très compliqué pour moi de regarder les matchs, de voir que l’équipe ne tournait pas bien. Maintenant, c’est du passé. Utilisé dans le couloir l’an dernier, vous avez évolué en faux neuf face à Rennes… J’ai joué n°10, derrière les deux attaquants, poste auquel j’ai débuté. C’est le coach qui a choisi. Je suis content, peu importe où je joue. Même si j’avais joué cinq minutes, j’aurais pris du plaisir.
A quel type de match vous attendez-vous, dimanche à Marseille ?
A une rencontre compliquée, parce que l’OM reste une grande équipe du championnat. Marseille-Monaco c’est toujours un grand match. Il ne faut pas penser au classement. On va là-bas pour gagner.
Comment le vestiaire vit-il le mercato et ces noms qui circulent (Vainqueur, Fabregas, Ballo-Touré) ?
Ça ne change rien pour nous. Les joueurs sur lesquels on peut compter aujourd’hui, c’est ça le plus important. Ils ne lâchent pas. Après, si des joueurs arrivent et peuvent aider l’équipe, c’est tant mieux.
commentaires