« Modeste, gentil, intelligent et compétent », voilà les mots qui reviennent dans les couloirs du Palais princier au souvenir de la réception de Leonardo Jardim, en 2017, au lendemain du titre de champion de France décroché par l'ASM. Un discret personnage dont la passion pour le philosophe Edgar Morin, révélée peu de temps avant dans les médias, n'avait qu'à moitié surpris tant l'homme avait traversé cette saison inoubliable avec sagesse.
Un homme de qualité que le prince Albert II a tenu à féliciter et remercier, hier, à peine revenu du Sommet de la Francophonie à Erevan (Arménie). « Je tiens à adresser un grand merci à Leonardo Jardim. Je ne sais pas à quelle place exactement, mais il rentre au panthéon des grands entraîneurs que l'on a connus. »
« Un hommage appuyé » suivi de l'adoubement de Thierry Henry, promis à un contrat de trois ans avec l'ASM et ainsi à sa première expérience d'entraîneur principal.
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