Un chien euthanasié après avoir mordu et sectionné le pénis d'un homme au cours d'une rixe

Le 26 février dernier à Toulouse, un jeune homme a vu son pénis être sectionné après avoir été mordu par un chien au cours d'une altercation. Le parquet a ouvert une enquête.

La rédaction Publié le 01/06/2023 à 17:15, mis à jour le 01/06/2023 à 16:16
Ce mardi 30 mai, un homme a été placé en garde à vue. Photo doc V.M.

Le drame remonte au 26 février dernier mais n'a été révélé que ce jeudi 1er juin après le placement en garde à vue de l'un des protagonistes dans le cadre de cette affaire. 

Le 26 février dernier, à Toulouse, une altercation a eu lieu entre des riverains. L'une des victimes, âgée de 21 ans tombe au sol, relatent nos confrères de La Dépêche. 

L'arrivée des secours a mis fin à l'altercation 

C'est alors que le chien de l'un des protagonistes, un American Bully, se rue sur lui et le mord au niveau des testicules, sectionnant alors son pénis. Malgré cette blessure grave, les coups continuent de pleuvoir sur le jeune homme. 

Ce n'est que l'arrivée des pompiers qui met fin à la bagarre, qui est alors pris en charge et opéré en urgence. A la suite de cette bagarre, le parquet de Toulouse a ouvert une enquête pour "violences avec arme ayant entraîné une infirmité permanente". 

Au cours de l'enquête, les policiers ont pu entendre différentes personnes mais aucune n'a affirmé avoir donné l'ordre au chien d'attaquer le jeune homme désormais infirme. Ce mardi 30 mai, un homme a été placé en garde à vue et toujours selon nos confrères, le chien a, quant à lui, été euthanasié. 

“Rhôooooooooo!”

Vous utilisez un AdBlock?! :)

Vous pouvez le désactiver juste pour ce site parce que la pub permet à la presse de vivre.

Et nous, on s'engage à réduire les formats publicitaires ressentis comme intrusifs.

Monaco-Matin

Un cookie pour nous soutenir

Nous avons besoin de vos cookies pour vous offrir une expérience de lecture optimale et vous proposer des publicités personnalisées.

Accepter les cookies, c’est permettre grâce aux revenus complémentaires de soutenir le travail de nos 180 journalistes qui veillent au quotidien à vous offrir une information de qualité et diversifiée. Ainsi, vous pourrez accéder librement au site.

Vous pouvez choisir de refuser les cookies en vous connectant ou en vous abonnant.