Nice : quatre malfrats braquent une supérette et blessent le gérant

Lundi, peu avant 22 heures, quatre individus, casqués, gantés et munis d'armes de poing, ont frappé le gérant d'un Carrefour city avec une bombe lacrymogène avant de partir avec la caisse

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C. C. Publié le 17/02/2016 à 05:12, mis à jour le 17/02/2016 à 05:12
Le Carrefour City de l'avenue de la Californie a rouvert ses portes hier, alors que son directeur était encore à l'hôpital.
Le Carrefour City de l'avenue de la Californie a rouvert ses portes hier, alors que son directeur était encore à l'hôpital. Christophe Cirone

Personne ne souhaite en parler. Mais chacun y pense. Hier matin à Nice, le Carrefour City situé au 106 avenue de la Californie accueille ses clients comme à l'accoutumée. Mais avec un traumatisme tout frais à évacuer. La veille au soir, la supérette a été la cible d'un braquage commis par quatre individus armés. Blessé à la tête, son gérant n'a quitté l'hôpital qu'au cours de la journée d'hier.

La scène est survenue lundi juste avant la fermeture, peu avant 22 h. Quatre intrus ont fait irruption dans la supérette située au bas de l'avenue de Fabron, munis d'armes de poing, gantés et casqués. Ils ont contraint le gérant à leur remettre la caisse et, pour mieux se faire entendre, lui ont asséné un violent coup au crâne avec une bombe lacrymogène.

Les malfrats ont pris la fuite à bord d'au moins deux motos, prenant la direction de l'ouest dans un premier temps.

Toujours recherchés

Sitôt alertés, les services de gendarmerie se sont positionnés aux sorties de la ville afin de les intercepter. C'est finalement du côté opposé que les fugitifs ont réussi à passer entre les mailles du filet.

Les sapeurs-pompiers ont évacué le blessé vers les urgences de Pasteur 2. Il a pu être entendu par la police judiciaire de Nice, qui a procédé aux constatations avec les experts de l'identification judiciaire.

Les agresseurs restaient introuvables hier. Le montant de leur butin n'a pas été révélé. L'enquête est entre les mains de la brigade de répression du banditisme.

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