Depuis ce tragique samedi 8 juillet, 17h15, et la disparition d'Emile, les investigations se poursuivent au Haut-Vernet.
Le mystère écrase ce hameau comme une chappe de plomb. Quelqu’un sait. Mais qui? Tous les jours, les 25 hommes et femmes de la cellule d’enquête nationale, créée le 11 juillet, soit trois jours après la disparition du petit garçon, sont à l’œuvre. Une équipe très discrète sur le terrain.
15 jours de données et de registres à étudier
Ce samedi, Le Parisien fait savoir que le travail des enquêteurs va continuer à prendre de l'ampleur. Et à s'étendre. Ils ont ainsi demandé "à plusieurs communes situées jusqu'à une vingtaine de kilomètres du Vernet de leur fournir la liste des personnes inscrites sur les registres des hôtels, des campings et des résidences locatives", fait savoir le quotidien.
Une demande qui concerne le 8 juillet. Mais pas seulement.
Les enquêteurs vont se pencher sur la semaine précédente et la suivante. L'objectif de ce travail de fourmi est de repérer notamment la présence de toute personne inscrite au FIJAIS (fichier des infractions sexuelles ou violentes) ou plus largement connue des services de police et de gendarmerie.
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