Si leur valeur faciale est inférieure à leur coût de production, ce qui explique que plusieurs pays (Finlande, Belgique, Pays-Bas) les ont déjà bannies, certaines "pièces rouges" sont particulièrement prisées des collectionneurs et voient leur cote s'envoler.
C'est ainsi le cas de certaines petites pièces monégasques, dont l'argus serait jusqu'à 10.000 fois supérieur à leur valeur faciale.
Selon le site de collectionneurs Info-collection.fr, les pièces émises par la Principauté sont très rares et donc très recherchées des numismates.
Les pièces de 1 centime d'euro frappées en 2001 et 2002 à Monaco sont désormais "quasi-introuvables" et peuvent se négocier au-delà de 100 euros.
Idem pour les pièces de 2 centimes si elles sont en bon état: émises en 2002 et 2003, elles vaudraient également une centaine d'euros. Datées de 2004, elles s'échangeraient autour de 50 euros.
Les pièces de 5 centimes en état neuf sont également très recherchées et leur valeur peut atteindre 50 euros.
Toutes les autres pièces émises par la Principauté valent au minimum une poignée d'euros, et le site conseille fréquemment de les garder précieusement. Leur cote n'a visiblement pas fini de grimper…
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