Les premiers pas du monégasque Josh Stanley dans l'émission "Les Princes et les Princesses de l’Amour" sur W9

Auteur-compositeur, ce résident monégasque a participé à une émission connue de téléréalité, actuellement diffusée sur W9. Cette visibilité peut servir de tremplin pour sa carrière musicale.

Thibaut Parat tparat@nicematin.fr Publié le 23/01/2022 à 08:51, mis à jour le 23/01/2022 à 08:07
Enfant du pays âgé de 25 ans, Josh Stanley compose lui-même ses chansons. Photo Sébastien Botella

Une chanson pour réclamer le retour de Nicolas Sarkozy en politique, un buzz musical à plusieurs millions de vues sur YouTube, une tournée des plateaux télés... En 2012, alors âgé de 15 ans, Josh Stanley goûte à une célébrité éphémère comme les réseaux sociaux savaient déjà l’offrir à l’époque. A l’évocation de cette anecdote – qui lui colle, malgré lui, à la peau – ce résident monégasque de nationalité anglaise et allemande décroche un sourire presque nostalgique. "C’était une expérience incroyable. J’ai eu quelques menaces de mort, certes, mais j’ai surtout vécu mes premiers concerts grâce à ça", confie le jeune auteur-compositeur indépendant, désormais 25 printemps au compteur.

Nouvelle corde à son arc

Depuis une décennie, Josh Stanley a mené son petit bout de chemin dans le milieu concurrentiel de la musique. Aux balbutiements de sa carrière, ce polyglotte écrivait pour les autres, avant de composer ses propres chansons. Avant tout de la pop contemporaine aux influences urbaines. Certains de ses singles dépassent le million de vues sur la plateforme Spotify. "Cette année, je vise dix millions de vues en streaming. Chaque mois de cette année, je vais sortir une chanson", confie-t-il, déterminé à percer davantage.

Ce vendredi sur la Toile, ses milliers de fans ont découvert sa dernière création musicale, Princess Haneia. Sa communauté grandissante en avait découvert un bref extrait dans l’émission de téléréalité Les Princes et les Princesses de l’Amour (saison 9), tournée à Saint-Tropez et actuellement diffusée sur W9, auquel participe Josh Stanley. "Je suis en compétition avec un autre prétendant, Dylan, pour séduire une princesse", résume-t-il. Haneia, vous l’aurez deviné.

Et rien de mieux qu’une guitare et une ode musicale pour mettre les chances de son côté. "Elle au balcon, moi en bas, et des pétales de roses qui volent. On se croyait dans le film Romeo et Juliette", sourit-il. On ignore, confidentialité oblige, si ce romantique arrivera à conquérir la jolie brune et nouer une relation amoureuse dans la vraie vie.

Un tremplin certain

Toujours est-il que ses premiers pas dans une téléréalité font office de tremplin: cela lui offre de la visibilité médiatique et une certaine notoriété sur les réseaux sociaux. Mais Josh Stanley refuse le terme.

"J’ai surtout vécu une expérience incroyable. J’ai découvert des gens avec la même mentalité: aventuriers, ouverts d’esprit, qui n’ont pas peur des caméras. Alors oui, certains sont trop sûrs d’eux, c’est comme ça, c’est la vie. C’est leur métier et ils sont des fins psychologues, détaille-t-il. Je n’ai pas vu les aspects négatifs de la téléréalité. Pour moi, c’est plus une nouvelle corde à mon arc. Cela me permet de rencontrer plus de monde, moi qui ait tendance à être dans ma bulle, à travailler tout le temps. Dans les Princes et Princesses de l’Amour, privés de nos téléphones et coincés dans une villa, on apprend à connaître la personne pour ce qu’elle est. C’est un cours intensif (rires). J’aimerais continuer dans la téléréalité car j’adore ça."

En quelques mois, d’ailleurs, Josh Stanley a aussi tourné d’autres programmes en France et en Angleterre, encore frappés du sceau de la confidentialité. "Je suis flatté qu’on m’appelle. Peut-être que j’ai un profil qui plaît. J’avais peur qu’on me fasse passer pour le petit riche de Monaco car ce n’est pas une image que je reflète. Je suis quelqu’un de simple et je suis fier de mon pays. J’ai dansé à la Palladienne pendant quinze ans, voyagé dans le monde entier avec la famille princière."

Maxime et Valeriya, novices mais grands vainqueurs de "La Bataille des couples"

Révélé dans la production Netflix The Circle Game pour sa personnalité de fin stratège, Maxime Merkouchenko s’est récemment prêté au jeu d’une autre émission de téléréalité diffusée sur TFX, La bataille des couples, aux côtés de son épouse et âme sœur Valeriya Hordiyenko. "Des agneaux au milieu d’une meute de loups", sourit ce résident monégasque et marchands de biens à Cap-d’Ail. Une allusion à leur statut de novices face à d’autres duos amoureux, amis dans la vie et rodés aux codes et rouages de la téléréalité depuis bon nombre d’années.

20.000 euros de gain

Le concept du jeu était simple: à Las Terrenas, cité balnéaire au nord-est de la République dominicaine, les dix couples se sont affrontés lors d’épreuves physiques et mentales afin de faire grimper leur propre cagnotte. En perdre une les mettait en péril et pouvait provoquer leur élimination. En gagner une leur promettait l’immunité jusqu’au prochain acte. Le but? Aller au terme de l’aventure et rafler le pactole.

Eh bien, c’est Maxime et Valeriya qui ont connu cet heureux épilogue avec 20.000 euros au compteur. "C’était une expérience extraordinaire. On est très fiers d’avoir gagné, réagit-il. a n’a pas toujours été facile d’exister dans le programme car Valeriya parlait très peu français. Elle a énormément progressé pendant l’aventure. Le jeu était très stratégique. On a, d’ailleurs, été assez détestés par le public du fait de nos combines. Certains ont su l’apprécier mais d’autres non. Notre couple ressort beaucoup plus fort, plus soudé."

Avec plus de 200.000téléspectateurs quotidiens, l’émission a forcément accru la médiatisation du couple et sa notoriété sur les réseaux sociaux. "On ne dévoile pas trop notre quotidien intime. On essaye de le garder précieusement pour nous", nuance Maxime qui ne ferme pas la porte à d’autres jeux d’aventure et de réflexion.

Maxime et Valeriya ont récemment remporté une émission de téléréalité française. (DR).

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