Valery Guerguiev donnera le "La" des concerts princiers à Monaco

Coup d’envoi du festival princier le 19 juillet sous la direction du chef quasi-légendaire Valéry Guerguiev

André Peyregne Publié le 16/07/2015 à 08:16, mis à jour le 16/07/2015 à 08:20
Concerts du Palais princier : somptuosité sy - 29873147.jpg
(Photo N.-M.)

Coup d’envoi du festival princier le 19 juillet sous la direction du chef quasi-légendaire Valéry Guerguiev

Lorsque, le 19 août 1959, le chef d'orchestre Louis Frémeaux baissait sa baguette de chef d'orchestre dans la cour d'honneur du Palais princier, avait-il conscience qu'il ouvrait l'un des plus somptueux festivals musicaux de l'été dans la région ?

Plus de cinquante ans après, ces concerts demeurent parmi les plus impressionnants de l'été et les seuls consacrés à la musique symphonique.

La beauté du cadre, la splendeur de l'orchestre, la somptuosité de la musique et la qualité du public font de ces concerts des rendez-vous à nul autre pareil.

Que des sommets musicaux

Le premier, le 19 juillet, marquera l'apothéose de l'Année de la Russie à Monaco avec la présence d'un des chefs les plus célèbres du monde, Valery Guerguiev, le quasi-légendaire directeur du théâtre Marinsky de Saint-Petersbourg.

Au programme, la somptueuse 5eSymphonie de Tchaïkovsky dont les fanfares monteront haut dans le ciel monégasque.

Parmi les moments marquants qui viendront ensuite, on peut d'ores et déjà signaler l'interprétation de Schelomo de Bloch par la célèbre violoncelliste française Ophélie Gaillard (23 juillet) - cet hommage universel au roi Salomon ; le concerto pour violon de Bruch par le virtuose Boris Belkin (26 juillet) ; l'interprétation de Daphnis et Chloé de Ravel, avec chœur, le 26 juillet sous la direction de Gianluigi Gelmetti - cette œuvre sublime est, le plus souvent interprétée sans la magique présence des chœurs, ici les chœurs apporteront leur murmure diaphane ; l'envoûtante vocalise de Rachmaninov chantée par cette soprano merveilleuse qui nous a éblouis lors de cette saison lyrique dans Guillaume Tell de Rossini : Annick Massis (30 juillet) ; le romantique concerto de Grieg interprété par l'une des nouvelles vedettes du piano international, Boris Giltburg (2 août) ; la découverte de cette nouvelle star de la direction d'orchestre, Tomas Netopil (6 août).

Une succession de sommets musicaux…

 

“Rhôooooooooo!”

Vous utilisez un AdBlock?! :)

Vous pouvez le désactiver juste pour ce site parce que la pub permet à la presse de vivre.

Et nous, on s'engage à réduire les formats publicitaires ressentis comme intrusifs.