Crise au Karabakh: mais que font Anthony Borré et une délégation de la mairie de Nice en Arménie?

L'Azerbaïdjan a lancé mardi une opération militaire au Nagorny Karabakh, trois ans après la précédente guerre, demandant le retrait "total et inconditionnel" de son adversaire arménien de cette région disputée depuis des décennies avec l'Arménie. La crise éclate au moment où le premier adjoint de Christian Estrosi et tout une délégation de la mairie de Nice sont à Erevan.

Damien Allemand Publié le 19/09/2023 à 16:13, mis à jour le 20/09/2023 à 10:31
Une délégation de la mairie de Nice est en ce moment en Arménie. Photo DR

Des bombardements sur des villes, une opération terrestre qui a démarré, un "coup d'État" dénoncé... La crise du Karabakh a éclaté entre l'Arménie et l'Azerbaïdjian, ce mardi 19 septembre, alors qu'une délégation de la mairie de Nice est en ce moment présent à Erevan, la capitale arménienne. 

Composée de Anthony Borré, premier adjoint du maire Christian Estrosi, et de deux autres adjoints, Magali Altounian et Gaël Nofri, elle est arrivée en Arménie ce lundi, veille du début des affrontements.

Nice jumelée avec Erevan

Le but de cette visite? Célébrer à la fois les 16 ans du jumelage de Nice avec Erevan ce mercredi et la fête d’indépendance de l’Arménie ce jeudi. 

"Alors que notre délégation de la ville de Nice de la Région Sud est en Armenie, Stepanakert est bombardée par les Azéris. Les Arméniens sont de nouveau agressés dans l’indifférence la plus complète. Une intervention européenne et internationale est plus qu’urgente!", a réagi Magali Altounian sur X, ex Twitter. 

Quant à Anthony Borré, il a également évoqué la situation sur X: "La ville de Nice se tient résolument aux côtés de l’Arménie. Rien ne peut justifier ces atrocités. Ce qui se joue ici, ce sont les droits de l’homme, la démocratie et la lutte contre l’obscurantisme."

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