En hommage à Gilles Villeneuve Charles Leclerc pilote sa Ferrari 312 T4 en Italie

Le 8 mai 1982, le pilote canadien Gilles Villeneuve perdait la vie lors des qualifications du Grand Prix de Belgique disputé sur le circuit de Zolder.

Thomas MICHEL Publié le 10/05/2022 à 12:20, mis à jour le 10/05/2022 à 12:07
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Charles Leclerc prend la pose avec la Ferrari 312 T4. Capture d’écran Vidéo Formula One

Le 8 mai 1982, le pilote canadien Gilles Villeneuve perdait la vie lors des qualifications du Grand Prix de Belgique disputé sur le circuit de Zolder.

Ce dimanche, en marge du premier Grand Prix de Formule 1 de Miami, Formula One et Ferrari ont diffusé une vidéo hommage tournée fin avril sur le circuit de Fiorano, en Italie. Pour l’occasion Charles Leclerc a pris le volant de la Ferrari 312 T4 que Gilles Villeneuve domptait comme personne.

Impressionné par la puissance de "ce pan de la légende de Ferrari et de Villeneuve", Leclerc s’est dit "ému" d’avoir été choisi pour piloter à "l’ancienne".

René Arnoux témoigne également de son amitié et ses passes d’armes avec Villeneuve, notamment lors du Grand Prix de France à Dijon, en 1979. "On l’aimait ou on le détestait, résume l’ancien pilote de la Scuderia entre 1983 et 1985. Moi, je l’aimais beaucoup!"

"Je pense que tout le monde pouvait se reconnaître dans ce personnage sympathique, mais lorsqu’il enfilait son casque il devenait complètement différent, animal. Il poussait sa voiture jusqu’à la limite (...) Il a laissé sa passion à l’équipe Ferrari, c’est une légende", résume Charles Leclerc.

Fils de Gilles Villeneuve, Jacques Villeneuve a lui été champion du monde de F1 en 1997. Papa pour la cinquième fois le 26 janvier dernier, il a donné le prénom de son père à son enfant.

"Ce n’était pas quelque chose de léger, a-t-il confié au Journal de Montréal. Je n’étais pas prêt à le faire et pas à l’aise avec ça avant. Par contre, j’avais franchi une étape avec mon quatrième enfant, Henri, qui était le deuxième prénom de mon père. Pour moi, c’était le bon moment. J’avais probablement des choses à comprendre et à digérer."

Concluant au sujet de son père: "Il est mon héros. Ce n’est que plus tard que j’ai réalisé comment il était populaire et adulé. Pour bien du monde, Gilles est encore vivant".

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